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20/11/2013

Êxclusif: NOËL EN FEVRIER! Vous allez adorer!

Surprenez vos amis

Surprenez-vous vous-même:

Fêtez Noël, le 13 février prochain, en offrant (à toutes vos copines et copains,... et en ne vous oubliant pas vous-même) mon nouveau livre.

Une autobiographie, où je dis tout, sans oublier le reste....

 

à paraître aux éditions de l'Atelier.

 

 

UNE SI VIVE REVOLTE

 

Itinéraire hérétique d'un protestant laïque

 

TABLE DES MATIÈRES

Prélude : Un senior questionné par son adolescence

 

 Ière partie : Rebelle et boutonneux : un lycéen limousin au temps de la guerre d’Algérie

 

Ch. 1 : 1955-1956. Nom : Kigripan. Prénom : l’Hérétique

 

Ch. 2 : 1956-1958. Un Grillon triplement hérétique

 

Ch. 3 : 1958. Laure : peut-on être heureux dans un monde cruel ?

 

Ch. 4 : 1958-1959. La fin de vie de Jean-Ernest

 

Ch. 5 : L’été 1959. De Jean-Ernest à Jean, la métamorphose

 

Ch. 6 : 1959-1960. Marie-Josée et l’indéfinissable douceur de vivre

 

 IIe partie : Transgressions et révolution sans sacré : avant et après Mai 68

 

Ch. 7 : Le début des années soixante : extension à l’amour du domaine de la lutte

 

Ch. 8 : Le feu d’artifice ambigu de Mai 68

 

Ch. 9 : Les années soixante-dix : le militant et le chercheur

 

 IIIe partie : Un mandarin hérétique ?

 

Ch. 10 : Professeur, citoyen, protestant sous la gauche au pouvoir

 

Ch. 11 : L’éblouissement d’une présidence

 

Ch. 12 : L’étude de la laïcité face la religiosité laïque

 

Ch. 13 : Avec Ségolène Royal, le renouveau de la morale laïque

 

Ch. 14 : Un travail d’Hercule : réformer l’EPHE

 

Ch. 15 : De nouveau franc-tireur face à la douceur totalitaire

 

 Épilogue : Recherche hérétique, désespérément.

 

 

 

 

 

12/09/2013

Charte de la Laïcité

 

Lisez mon commentaire sur  la CHARTE DE LA LAÏCITE

in

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-bauberot

Pas besoin d'être abonné à Médiapart pour pouvoir le lire

(mais je vous conseille quand même de vous abonner!)

 

et bientôt, pour tous les amis du Blog,

une GRANDE NOUVELLE.

 

L'annonce de la future parution d'un ouvrage, comme vous n'en avez jamais lu.

12/07/2013

Le Blog sur Médiapart

Je rappelle aux fidèles de ce blog, qu'ils trouveront mes Notes sur Médiapart (en accès libre)

 

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-bauberot

Dernières Notes:

Observatoire de la laïcité: enfin une réflexion sérieuse

"Mon corps m'appartient, il est l'honneur de personne"

Menace contre la laïcité

Mariage: une loi laïque peu assumée

Une morale laïque pour toutes et tous

Lutte contre les discriminations et laïcité

Etc, etc....

 

Et signer l'appel de Médiapart contre la censure.

 

30/06/2013

Conférence et Concert à Villefavard (Hte Vienne) le 13 juillet

-         Vous êtes conviés à une Journée exceptionnelle qui aura lieu à Villefavard (Haute-Vienne, à 50 km au Nord de Limoges, canton de Magnac-Laval):

FeFerme de Villefavard en Limousin

2, impasse de l’église et de la Cure

87190 Villefavard

Téléphone / Fax : 05 55 76 54 72

Mail : ferme.villefavard@wanadoo.fr

Site internet : www.fermedevillefavard.com

12h30 : REPAS. Inscription obligatoire au 05.55.76.59.92  ou jclerc@numeo.fr  avant le 5 JUILLET. Indication du nombre de convives.

18 €uros – gratuit pour les moins de 10 ans.

-         

 15     15 heures : CONFERENCE : « Croyances, sorcellerie et superstitions en Limousin »: par Maurice ROBERT, Limousin, Docteur ès lettres, Directeur de Recherche Honoraire au C.N.R.S.

 Le Limousin constitue un terrain privilégié d’observation des croyances, qu’on les estime « religieuses » ou « populaires », et des superstitions.  . Le conférencier s’attachera, dans un premier temps, à donner du sens à ces mots. Dans une seconde partie, il illustrera d’exemples connus ou vécus chacun de ces comportements et il les commentera.

Enfin, il s’attachera plus particulièrement à examiner le phénomène de la sorcellerie d’après des exemples anciens ou contemporains. Sa conclusion s’inspirera d’une démarche ethnologique.

(Entrée libre. Participation aux frais par collecte)

17 heures : GOÛTER

18 heures : CONCERT avec les maîtres en résidence à La Ferme de Villefavard : Jean-Louis Haguenauer (piano) et Yuval Gotlibovitch (alto) . Programme Bach, Schubert… Réservation nécessaire. (12 €uros )

 

 

 

 

 

 

 

 

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15/03/2013

COLLOQUE INTERNATIONAL SUR LA LAÏCITE

COLLOQUE INTERNATIONAL

 

LAÏCITE, LAÏCITES, RECONFIGURATIONS ET NOUVEAUX DEFIS

(Afrique, Amériques, Europe, Japon, Pays arabes)

 

11-12 avril 2013

 

Site Pouchet du CNRS

 

 59-61 rue Pouchet 75017 Paris

(Métro Brochant ou Guy Moquet

Bus 66, arrêt La Jonquière)

 

 

 

Co-organisé par

Le Groupe Sociétés, Religions, Laïcités (CNRS-EPHE)

La Fondation Maison des Sciences de l’Homme

 Le Centre d’Etudes Ethniques des Universités Montréalaises

 

 

 

Comité Scientifique ;

Jean Baubérot (GSRL)

Sonia Dayan-Herzbrun (Paris VII)

Jean-Pierre Dozon (FNSH)

Micheline Milot (CEETUM)

Philippe Portier (GSRL)

 

Argumentaire

 

 

Ces dernières années, des événements d’importance se sont produits qui confirment la place centrale de la laïcité dans le débat social et politique de nombreux pays relevant d’aires culturelles diverses.

 

-Au plan social, on a repris, à nouveaux frais, la réflexion autour de la place du religieux dans l’espace public. Le débat s’est développé en Europe sur l’assise, principalement,  d’une interrogation portant sur la question de la « visibilité de l’islam », elle-même souvent liée à la question de « l’identité nationale ».

Au Canada, à la faveur du débat engagé lors de la réflexion de la commission Bouchard-Taylor, on a repris la question des « accommodements raisonnables ».

Ces problèmes touchent ailleurs, aux Etats-Unis mais aussi en Amérique latine, la question du rapport entre la loi positive et la norme morale que des groupes religieux entendent promouvoir.

Les « printemps arabes » nous ont confrontés, de même, à l’affrontement de visions du monde très différentes sur la question du rapport de la foi musulmane et du droit de l’Etat.

 

-Au plan juridique, des événements nouveaux sont également intervenus. Le droit, un peu partout,  a établi de nouvelles dispositions.

Certaines, en France notamment (avec le hijab ou le niqab) ou en Italie (affaire Lautsi), concernent les signes religieux. D’autres, en Amérique du Sud ou en Europe, le corps, le genre, la sexualité, la vie.

Des pays arabes, soustraits aux dictatures néo-patrimoniales, sont engagés aujourd’hui dans une vaste ingénierie constitutionnelle, qui conduit certains constituants à poser la question du fondement islamique de la norme législative, et à tenter d’articuler le principe de la religion plus ou moins officielle ou dominante et celui de liberté de conscience, et d’autres à rechercher des voies fort différentes.

 

Ce colloque vise, en s’appuyant sur une série de recherches nouvelles en la matière, à établir un bilan approfondi sur la situation récente.

Il s’assigne, en s’arrêtant sur un corpus large de différentes situations nationales (pays européens, arabes, américains et Japon), trois objectifs principaux.

 

-D’abord, reprendre la question des cadres d’intelligence de la laïcité. Comment se construisent les « imaginaires » de la laïcité ? Quelles sont les facteurs qui pèsent sur leur définition ?

On rappellera ici que l’articulation du pouvoir politique et de la liberté de conscience ne fait pas, aujourd’hui, l’objet d’un traitement identique de la part des différents pays, ni au sein même de chaque pays, de la part des différentes fractions de l’opinion publique.

 

-Ensuite, reprendre la question des types de règlementation du religieux et, plus précisément, le problème de la laïcisation du droit. Comment s’opère, à présent, la réarticulation du rapport entre le droit positif et la norme religieuse ?

Le mouvement n’est probablement pas univoque. Il articule, selon des configurations différentes en fonction des divers pays, à la fois des éléments de reconnaissance du religieux et de résistance à son caractère englobant.

 

-Enfin, reprendre la question des modes de gouvernance du religieux.  Au cours de ces dernières années on a assisté, dans de nombreux pays, à une évolution de la gestion du religieux.

Il s’agira ici de revenir sur les types nationaux d’élaboration des politiques religieuses, en montrant comment ils sont retravaillés, actuellement, à la fois, par les dynamiques, sociales et culturelles, des sociétés internes et par les influences de la société internationale, du processus de globalisation.

 

Ces trois perspectives se retrouveront dans les cinq Panels de ce colloque international,  

 

 

 

PROGRAMME* :

 

Jeudi 11 avril :

Matin:

8h45 : Accueil café

9h15-10h30: Introduction: J. Baubérot (GSRL, EPHE) – M. Milot (CEETUM-UQAM)

«Laïcité, laïcités : Pistes de réflexion et d’analyse »

 

*Les intervenants sont indiqués par ordre alphabétique. Cela ne préjuge pas de l’ordre des interventions.

 

10h45-12h45: Panel I: Héritage et Actualité :

Témoignages d’acteurs :

P. Galand (Centre d’Action Laïque Belge et Fédération Humaniste Européenne)

« Il y a-t-il une place pour la laïcité dans l’espace européen ? »

P. Tournemire (Ligue française de l’Enseignement)

«  La Ligue de l’enseignement et la laïcité, un même chemin »

 

Discutant : J.-P. Martin (GSRL, Université de Lille III)

« Laïcité française, laïcité belge : deux usages d’une même notion »

 

Après-midi :

14h-16h30 : Panel II : Processus de globalisation, religions, laïcité

R. Liogier (CHERPA, Observatoire du religieux, Sciences-Po Aix-en-Provence)

« La globalisation des forces religieuses dans un monde formellement sécularisé »

M. Wieviorka (FNSH, EHESS)

« Pour en finir avec la confusion laïcité, multiculturalisme, religion et culture dans un monde globalisé et multipolaire »

J.P Willaime (GSRL, EPHE)

« Les déterminations historiques, juridiques et sociologiques d’une laïcité de reconnaissance et de dialogue dans l’Europe contemporaine »

V. Zuber (GSRL-EPHE)

« Droits de l’homme et laïcité. Dogmes républicains ou libertés démocratiques ? »

 

17h-19h : Panel III : Liberté de conscience et non-discrimination :

L. Benhadjoudja (CEETUM, UQAM)

« Le féminisme musulman au Québec, quel enjeu pour la laïcité ? »

K. Daté (Université de Sophia, Tokyo)

« De la laïcité de séparation à la laïcité de reconnaissance au Japon »

S. Dayan-Herzbrun (Université de Paris VII)

« Etat civil et libertés individuelles à la Lumière des printemps arabes »

 

Vendredi 12 avril :

Matin :

9h : Accueil café

9h-30-12h30 : Panel IV : Stratégie des forces religieuses dans la sphère publique :

M. Chaoul (Institut de Sciences sociales, Université libanaise, Beyrouth)

« La forclusion de l’Etat par les communautés religieuses au Liban. Les effets pervers du régime de la convivialité des communautés »

J.-P. Dozon (FMSH, EHESS)

«Les processus de prolifération religieuse dans les sphères publiques africaines»

F. Mallimaci (Université de Buenos-Aires)

« La laïcité de subsidiarité entre extension politique de droits et rejet du front religieux »

P. Michel (Centre Maurice Halbwachs, CNRS)

« Stratégies catholiques dans la sphère publique »

A .Saris (CEETUM, UQAM)

« La mobilisation du droit par les forces religieuses au Canada et leurs fondements »

 

Après-midi :

14h-16h30 : Panel V : Production de normes et nouvelles frontières :

R. Blancarte (Colegio de Mexico)

« Le Mexique, une République laïque : fin du chemin ou début des débats ? »

M. Delmas-Marty (Collège de France)

« Internationalisation des normes et métamorphose de l’ordre juridique »

J.-M. Ducomte (Institut Politique de Toulouse)

« Entre respect des libertés publiques et garantie de l’ordre public : les évolutions de la normativité en matière de laïcité »

L. Labidi (Middle East Institute, Université de Singapour)

« Le printemps arabe en Tunisie : Parité, élections et luttes pour le droit des femmes »

 

16h45-17h30: Conclusion: Ph. Portier (GSRL, EPHE)

 

17h30 : Verre de l’amitié.

 

 

 

 

 

 

02/01/2013

LAICITE 2013

 

Depuis quelques années, la droite dure et l’extrême droite se veulent les champions de la laïcité, or il s’agit d’une laïcité falsifiée. Nous avons eu le « débat sur la laïcité » de l’UMP, les propos de M. Le Pen sur l’interdiction de la kipa et du foulard dans la rue et ceux de J.-F. Copé sur le « pain au chocolat ».

Aujourd’hui, le projet de La Droite forte, principale tendance de l’UMP, vise à interdire les minarets comme signes de « prosélytisme dans l’espace public », à conditionner la construction de mosquées à la signature d’une « Charte républicaine », à ajouter le mot « Laïcité » à la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » et, ce qui explique cette inflation,… à préciser dans la Constitution : « La France est une République laïque de tradition chrétienne » !

Nul n’avait prévu une dérive d’une telle ampleur. Pourtant elle s’avérait possible dès lors que l’on tournait le dos à la laïcité que la loi de 1905 avait établie.  La tromperie initiale a consisté à prétendre reléguer la religion dans la « sphère privée », entendue au sens de « sphère intime ». Or, en 1905, la séparation a fait de la religion une « affaire privée », c'est-à-dire un choix personnel et libre.

Elle a supprimé toute officialité de la religion, toute dimension religieuse de l’identité nationale. En revanche, elle a augmenté la liberté de manifester ses convictions, religieuses ou non, dans l’espace public dès lors qu’il s’agit de manifestations volontaires, qui n’engagent pas l’Etat et ne troublent pas l’ordre public démocratique.

C’est la puissance publique qui doit être neutre, pour garantir la liberté de conscience de tous. L’espace public est un lieu de libre expression. En 1905, tous les amendements qui restreignaient cette liberté, y compris celui sur le port de vêtements religieux, ont été refusés.

Quel obscurantisme que de se réclamer de la loi de 1905 en prônant ce qu’elle a désavoué ! Ceux qui veulent une « nouvelle laïcité » doivent l’assumer. Ils peuvent le faire en affirmant que la situation a changé. Mais ils doivent alors démontrer que leur nouvelle laïcité est juste et efficace. Or elle se montre profondément discriminatoire et contreproductive.

Elle est discriminatoire car elle apparait à géométrie extrêmement variable. Même ceux qui, à gauche, prétendent se situer dans une logique égalitaire savent que leurs propositions intransigeantes n’auront pas d’application identique suivant les religions. Or tout le problème est là. Dans leur immense majorité les musulmans de France ne sont pas contre la laïcité, ils sont contre le fait que celle-ci, falsifiée, les vise en particulier, donc les stigmatise.

C’est pourquoi cette nouvelle laïcité est contreproductive. Il faut isoler les extrémistes et les rendre peu attractifs. Or, par calcul  électoral ou par manque d’intelligence, on s’acharne depuis des années à produire un ressenti victimaire chez les musulmans qui pratiquent tranquillement leur religion. 

 On déconsidère la laïcité à un point tel que, quand il entend ce mot, un musulman peut penser : « Qu’est-ce qui va encore me tomber dessus ! » On voudrait favoriser l’extrémisme, l’on n’agirait pas autrement.

Chaque époque comporte ses sources de conflit, ses menaces et donc ses peurs. Il est naïf de croire que la situation de 1905 était plus calme que la nôtre : ce n’est pas pour rien que l’auteur de la loi de séparation, A. Briand, a prôné une « laïcité de sang-froid ».

Que la laïcité se concrétise aujourd’hui face à de nouveaux problèmes, certes. Mais selon des principes inchangés : séparation du pouvoir politique et des autorités religieuses, neutralité arbitrale de l’Etat, liberté de conscience et non-discrimination. Cela signifie l’égalité de toutes les convictions et le fait que leur expression relève du droit commun.

De multiples propositions peuvent être faites. Les miennes visent à remettre la laïcité sur ses rails.

D’abord, recréer la HALDE, la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations, est nécessaire afin que l’on ne se serve plus la laïcité comme leurre pour justifier des discriminations.

Ensuite, il serait utile de rattacher le Bureau des cultes au Ministère de la Justice. Le Ministère de l’Intérieur doit lutter contre tout terrorisme éventuel. Le fait qu’il apparaisse comme gérant les religions est source de confusion.

Enfin, il faut soutenir activement le projet de renouveau de la morale laïque. Morale du lien social et des principes qui fondent le pacte républicain, la morale laïque peut représenter la dynamique d’une laïcité qui rime avec égalité, fraternité et liberté.

Article paru dans Le Nouvel Observateur (N° du 20/12/2012 au 2/1/2013 sous le titre "Attention aux falsifications".

TRES BONNE ANNEE A TOUTES ET A TOUS

 

 

 

 

 

 

03/09/2012

Morale laïque

Chers Amis,

Sur le projet de Vincent Peillon concernant la morale laïque à l'école, voici mes deux de mes interventions:

 http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-bauberot/300812/vive-...

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/619411-vincent-p...

Et n'oubliez-pas les ouvrages, toujours d'actualité:

-J. Baubérot - M. Milot, Laïcités sans frontières, Le seuil, 2011.

-J. Baubérot, La laïcité falsifiée, La découverte, 2012

et, plus précisément, sur le problème de la morale laïque:

J. Baubérot, La morale laïque contre l'ordre moral sous la Troisième République, Le seuil, 1997, réédit. Archives Karéline, 2009.

Et enfin, un livre que je vous recommande pour la rentrée:

Raphaël Liogier, Souci de soi, conscience du monde. Vers une religion globale. Armand-Colin

(je pense en faire une recension sur mon blog de Médiapart, mais ne l'attendez-pas pour l'acheter)

07/07/2012

BEL ETE

Je vous souhaite un très bel été

Et je vous rappelle que vous pouvez accéder gratuitement à mes Notes actuelles

sur Médiapart:

 

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean-bauberot