Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/05/2011

En finir avec la « laïcité ouverte »

Voici un aticle que j'ai envoyé à Libération et qui vient d'être publié dans la rubrique "rebonds" du n° du 13 mai. je le mets dans son intégralité, Libé ayant du faire (avec mon accord) une coupe, pour des raisons de mise en page.

Bonne lecture.

" Depuis plus de 20 ans, certains militants, intellectuels et groupements laïques affirment que la laïcité ne souffre pas d’être accompagnée d’un adjectif. Ils dénoncent ceux en utilisent comme des sortes de traitres à la laïcité.

Dans Libé du 23-24 avril,  Pena-Ruiz ravive ce conflit par ce titre : « la laïcité ouverte est insultante ». Il affirme, par ailleurs, que le « principe de laïcité ouverte ou positive » a été « inventé par des théoriciens au sein de la Ligue de l’Enseignement », pratiquant allègrement l’amalgame puisque c’est Sarkozy qui parle de « laïcité positive » !

Deux façons de disqualifier ceux qui n’épousent  pas sa conception de la laïcité. Je voudrais proposer une piste pour dépasser cette querelle absurde qui stérilise la gauche, au moment où  la droite dure et l’extrême droite s’emparent du thème de la laïcité pour masquer leurs propres desseins.

Querelle absurde car deux niveaux sont confondus. Celui des principes où la laïcité comme « idée régulatrice » n’a effectivement pas besoin d’adjectif. Elle se réfère à  quatre principes : la séparation de l’Etat et des religions, la neutralité arbitrale de l’Etat face aux différentes  convictions en vue d’assurer et la liberté de conscience et l’égalité des droits pour tous. Mais, suivant les époques, les pays, les domaines, ces principes sont conçus et appliqués de façon différente et toujours imparfaite.

C’est  une représentation étroite de la laïcité à ce second niveau qui s’est trouvée contestée, non les principes eux-mêmes. Ainsi Jaurès parlait de « République sociale » pour indiquer que la République réelle ne l’était pas assez. En court-circuitant les deux niveaux, on tente d’imposer une orthodoxie laïque et de réduire au silence tous ceux qui, à gauche, ne pensent pas comme vous. Toute analyse socio-historique de la représentation et de l’application de laïcité est ainsi disqualifiée. Cette attitude inquisitoriale favorise le glissement du discours dominant sur la laïcité de la gauche vers la droite.

Faut-il alors prendre à son compte l’expression de « laïcité ouverte » ? Ni la Ligue de l’enseignement, ni moi-même, qui travaille avec elle depuis 25 ans, n’avons utilisé cette expression ambiguë. Au contraire, J’ai interpellé les partisans de la « laïcité ouverte »  en leur demandant « à quoi voulez-vous ouvrir la laïcité ? » S’il s’agit « d’inventivité, de dynamisme », de répondre au défi de « sociétés pluriculturelles » : « Fort bien. » S’il s’agit « de penser que la laïcité doit être essentiellement ouverte aux religions, qu’elle se confond avec la seule liberté religieuse » : alors « résolument non. »[1]

 En effet, l’usage social de l’expression « laïcité ouverte » amalgame deux formes complètement différentes de laïcité réelle : la « laïcité de reconnaissance » d’une pleine liberté de conscience de chaque individu et de lutte contre les inégalités de droits; la « laïcité de collaboration » entre l’Etat et des autorités religieuses.[2]   

 La reconnaissance de la liberté de conscience dans des sociétés pluriculturelles induit la séparation, théorisée notamment par John Rawls, entre ce qui est « juste », et que le politique doit promouvoir, et les diverses conceptions du « bien » qui se confrontent dans la société civile. Un processus de laïcisation signifie alors l’augmentation de la liberté pour les uns, sans obliger les autres à renoncer à leur point de vue.

 Ainsi la loi de 1975 sur l’IVG  rend possible pour les femmes d’effectuer une IVG si elles ont des raisons de la souhaiter, sans l’imposer à quiconque. La loi permet en outre aux soignants qui considèrent l’avortement comme un « meurtre » de faire jouer une clause de conscience. Ainsi chaque conception du « bien » est un peu frustrée, devant faire place à l’autre, dans une recherche de justice  pour tous.  Une loi analogue pourrait être votée aujourd’hui sur l’euthanasie.

 Cette reconnaissance de la liberté de conscience fait donc accepter des ajustements : l’exception en faveur des aumôneries, au principe du non subventionnement des cultes dans l’Article 2 de la loi de 1905 en est un exemple typique. Et il en existe bien d’autres dans cette même loi.

 La « laïcité de collaboration » est très différente, puisqu’elle officialise des liens entre les autorités religieuses et l’Etat. Des éléments de cette laïcité existent en France avant l’arrivée au pouvoir de  Sarkozy, ne serait-ce que la création, en 2001, d’un « dialogue institutionnel » entre l’Etat et les autorités catholiques. En Alsace-Moselle, le Concordat et le régime des « cultes reconnus » subsiste. La « laïcité positive », exposée dans le discours du Latran, théorise et accentue cette optique de collaboration entre le religieux et le politique. Elle existe dans certains pays européens, mais n’est pas dans l’esprit de la loi de 1905. Le président suit depuis son élection cette ligne politique, tout en imposant de plus en plus aux musulmans une « laïcité autoritaire ».

 Tendanciellement, la laïcité de reconnaissance épouse les valeurs de la gauche, et la laïcité de collaboration celles de la droite. En confondant ces deux types de laïcité, que l’on prône la « laïcité ouverte » ou qu’on la dénonce comme une « insulte »,  on rend difficile, voire impossible, toute contre-attaque face à la laïcité-UMP et à la laïcité lepénisée."

  

   PS: certains m'ont demandé la date de publication dans le Blog de mon précédent article publié par Libé (+ une interview dans le Nouvel Obs qui, dans la note, est AVANT le dit article): c'est le 31 mars. 

 Re-bonne lecture!

  



[1] La laïcité expliquée à M. Sarkozy et à ceux qui écrivent ses discours, Albin Michel, 2008, p. 232-233.

[2] Avec M. Milot, dans Laïcités sans frontières (Seuil, 2011, p. 87-120), nous distinguons 6 types de laïcité dont les 2 citées ici.

 

Commentaires

Élever très haut un débat est une façon élégante de l'oublier...

Écrit par : david weber | 14/05/2011

D'un côté on lit dans cet article que : "la « laïcité de collaboration » existent en France avant l’arrivée au pouvoir de Sarkozy, ne serait-ce que la création, en 2001, d’un « dialogue institutionnel » entre l’Etat et les autorités catholiques." et de l'autre, J.Baubérot poursuit son exposé en écrivant : "Tendanciellement, la laïcité de reconnaissance épouse les valeurs de la gauche, et la laïcité de collaboration celles de la droite.".

Curieux ! En 2001 la France avait un gouvernement de gauche me semble t'il. M.Baubérot insinuerait il qu'en 2001 le gouvernement n'était, peut être, pas si à gauche qu'il le prétendait ? LOL !

Écrit par : david weber | 20/05/2011

@ D. Weber
Si vous aviez poursuivi votre raisonnement, vous auriez constaté que la loi Veil - sur l'IVG - en 1975 a été adoptée, certes avec les voix de la gauche et contre une large partie de la majorité de droite (192 contre, dont l'ineffable Foyer, mais aussi Messmer et Guichard, barons du gaullisme), sous la présidence de Giscard.
"Tendanciellement" n'indique qu'une ligne de force sur la longue durée.

Écrit par : J. F. Launay | 24/05/2011

@ J.F Launay

"Tendanciellement" indique une ligne de force sur la longue durée selon vous...Longue durée c'est quoi ? 100 ans ? 10 ans ? un an ? une journée ? Dans une salle de marché la "tendance" c'est parfois quelques minutes voire ...15 secondes : le temps qu'un autre PX 1 arrive et foute en l'air votre prise de position sur un contrat futur sur indice enclenchée par un ordre stop après la publication d'une statistique par exemple.

En science, on définit très exactement ses termes. Une phrase en science comprend un sujet un verbe et un complément. Le reste est de trop. Clémenceau disait à ses journalistes du journal L'aurore : "Faites des phrases courtes. Un sujet, un verbe, un complément. Quand vous voudrez ajouter un adjectif, vous viendrez me voir." Ceci écrit reprenons.

Lorsque Le gouvernement Jospin en 2001 modifie la réglementation des association loi de 1905 en faveur de l'église catholique n'est ce pas un cas de "« laïcité de collaboration » ?

Quand le maire de Paris, accorde deux millions d’euros, à 14 crèches et halte-garderies confessionnelles juives.Ce n'est pas de la "laicité de collaboration "? Pourtant Danielle Simonnet et Alexis Corbière (Parti de gauche), ont « regretté » que ces subventions soient attribuées à des crèches « qui ne respectent pas la laïcité et les obligations de convention demandées pourtant par la Ville elle-même », ainsi que Gilles Alayrac (Parti radical de gauche), qui a « de son côté déploré que ces crèches ne soient pas ouvertes le vendredi après-midi (pour cause de shabbat) contrairement à la convention passée avec la Mairie », comme le résume L’Obs.com.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20101220.AFP7445/les-loubavitch-assurent-que-leurs-creches-repondent-aux-criteres-legaux.html

Écrit par : david weber | 25/05/2011

@ david weber
Mille excuses
Naïvement, je pensais que votre remarque sur 2001 (donc Jospin) relevait de l'ironie gentille à l'encontre de l'auteur du blogue.
Je n'avais pas compris - suis-je bête ! - qu'elle relevait du sport favori des mélenchonniens : cogner sur le social-traître !

PS Sauf erreur, Mélenchon a été ministre de Jospin de 2000 à 2002.

Écrit par : J. F. Launay | 25/05/2011

@J.F launay

"Naïvement, je pensais que votre remarque sur 2001 (donc Jospin) relevait de l'ironie gentille à l'encontre de l'auteur du blogue. ", écrivez-vous. Cher J.F, c'était le cas… Après tout le titre de ce blog n'est il pas : "laïcité et regard critique sur la société" ? En ce qui concerne le regard critique, on peut toujours compter sur moi. Mais, contrairement à certain, mon regard de la société n'est déformé par aucune idéologie. La seule certitude que j’ai, c'est d'être dans le doute. Tout est relatif et encore...ça dépend. (LOL!) Ceci étant écrit, cela me permet de faire facilement la transition sur la suite de vos propos.

"Je n'avais pas compris - suis-je bête ! - qu'elle relevait du sport favori des mélenchonniens : cogner sur le social-traître !", continuez vous. Entre nous, cher J.F, vous en connaissez beaucoup de mélanchonnien qui sont capables de vous parler de PX 1 (savez vous ce que ce terme signifie ?) de contrats sur indice ou de monep ? Pouf, pouf ! Puis je me permette de vous donner un conseille ? Ne dites ou n’écrivez jamais : « suis-je bête ». Il faut toujours dire du bien de soi, ensuite cela se répète et on ne sait plus d’où cela vient. Vous devriez savoir cela : c’est ce qu’on fait couramment en politique… Pouf, pouf ! Dire qu’on est bête, c’est con. Autre exemple de connerie : se masser sur des gradins et crier : « allez les verts !». Le fait de se masser sur des gradins en criant « allez les verts ! » est un signe irréfutable de connerie. D’autant que cette année c’est Lille qui a gagner. Pouf, pouf !

Cher J.F, vous semblez classer ou dédouaner les gens assez rapidement. "Étonnant non ?", dirait Desproges dont vous reprenez dans votre blog une formule : « Les étrangers basanés font rien qu'à nous empêcher de dormir en vidant bruyamment nos poubelles dès l'aube alors que, tous les médecins vous le diront, le blanc a besoin de sommeil. ».

Eh bien, comme Desproges, je me définirais comme quelqu’un de désengager politiquement. Je ne dis pas que je ne fait pas de politique. Lorsque quelqu’un vous dit cela, la plus part du temps, il est de droite. Je dis simplement que je ne suis pas engagé. Ce n’est pas la même chose. Soi dit en passant, et sans fausse modestie, j’ai fait plus de dégâts politiquement dans l’actuel gouvernement que vous et J.Baubérot réunis. Sans rire…

Cordialement.

Écrit par : david weber | 26/05/2011

Désengagé et non désengager, bien sûr... A force de me planter, je vais finir par pousser. Quand j'écris rapidement, sans correcteur d'orthographe (et avec aussi...), c'est un festival de fautes d'orthographes. C'est la seule matière qui m'a posé problème à l'école. J'en garde un petit complexe. Puisque vous avez posé hâtivement un jugement dans votre dernier commentaire, permettez moi d'en faire de même : je parierais que vous êtes un ...prof à la retraite, peut être ?

Écrit par : david weber | 26/05/2011

@ DW
Contrairement à vous, je réfère donner dans l'auto-dérision, plutôt que dans l'auto-satisfaction.

Écrit par : J. F. Launay | 26/05/2011

@J.F.Launay

Il est toujours beaucoup plus facile de critiquer la forme d'une question que d'y répondre, cher JF. Et, en l’occurrence vous n’avez répondu à aucune des questions que je vous posais.

Écrit par : david weber | 26/05/2011

@ J.F launay,

Cher Jean-François (?),
Vous me permettrez, j'espère, de vous appelez par votre prénom. Cher J.F donc, je me permets de vous dire que je suis très déçu que vous n'ayez pas répondu à ma précédente remarque. Je n'en reste pas moins votre lecteur à ciguë.

Pouf, pouf !

Cordialement.

Écrit par : david weber | 26/05/2011

Bizarre... Vous avez dit "bizarre"... comme c'est bizarre !

Le monsieur qui signe David Weber m'a envoyé un courriel quelque peu insolite :

"Bonjour,

"Contrairement à vous, je préfère donner dans l'auto-dérision, plutôt que dans l'auto-satisfaction.", écrivez vous. Il est toujours beaucoup plus facile de critiquer la forme d'une question que d'y répondre, cher JF. Et, en l’occurrence vous n’avez répondu à aucune des questions que je vous posais.


Comme vous le savez jean Baubérot a un frère dont le prénom est Mouloud. Moi, j'ai un cousin dont le nom est denis.w.cousin. C'est lui qui a mis le feu au poudre le soir du 9 mars 2009 en lançant l'affaire des rumeurs qui a touché le couple Sarkozy...Affaire qui a couté le poste à un des conseillers de M.Sarkozy et "schrapnélisé Mme Dati. Avez-vous fait mieux (autre question)?

http://archives.plumedepresse.net/spip.php?article1365

En soi, cette nouvelle était embarrassante mais là ne résidait pas le piège. Il était situé, en autre, dans la manière dont cette nouvelle à été lancée. Le but du jeu était multiple. Je ne dévoilerais pas tout. Cela pourrait peut être me servir une autre fois… Cependant je vais vous compter une partie de l'histoire.

Un des but (mineur) de la manœuvre était effectivement que les membres de l'UMP se "flinguent" entre eux comme dans le film "le grand blond avec une chaussure noire". Effectivement, Mme Dati a pris quelques coups alors qu'elle n’y était pour pas grand chose. POUF, POUF ! Quand j'écris que je suis taquin ce n'est pas pour rien...Il y avait un autre but (principal) mais il n’a pas été atteint. Je n’en dirais pas plus.



Entrons dans les explications :


1. comme vous le savez lorsque vous êtes sur internet, on vous attribue un numéro d'IP. C'est l'équivalent d'un numéro de téléphone. Avec ce numéro d'IP, on peut vous identifier et savoir où vous êtes. Par exemple le numéro d’IP du blog de M.Baubérot est 77.75.58.2. Cela correspond à un endroit près de Saint Sulpice les Champs pas loin d’Aubusson…



Le problème c'est que mon numéro d'IP ne correspond à...rien ! Ou plus précisément, il correspond à celui d'un monsieur qui s'appelle François Cousin. Par malice, j'ai donc créé une boite à lettre au nom de Denis.W.Cousin. Or, D. W. ce sont mes initiales et Cousin, c'est le nom du monsieur dont je suis censé avoir piraté la ligne téléphonique. Seulement là, encore, il y a encore une taquinerie...M.( François)e Cousin est en fait un ami d'enfance. Nous avons décidé de créer, il y a pas mal de temps, un réseau informatique. Nous avons relié nos maisons (c'est très facile à faire mais je ne donnerais pas le mode d'emplois). Nous avons fait cela chez plusieurs autres personnes qui n'avaient pas les moyens de bénéficier d'un abonnement téléphonique. François Cousin est donc le fournisseur d'accès internet ou FAI d'un certain nombre de personnes dont je fais partie. C'est du reste pour cela que de temps en temps j'écris, sur le blog de M.Baubérot, que j'ai des problèmes avec mon ordinateur. En fait c'est François qui arrête son ordinateur ou son modem pour quelques heures ou plus suivant les cas. Par exemple, en cas d'orage, nous coupons notre réseau de peur qu'il soit touché par la foudre. C'est également pour cela que je n'explique pas publiquement notre petit arrangement : inutile d'attirer l’attention des indésirables sur cette combine. Donc pour résumer, j’ai une adresse IP qui est un vrai- faux piratage…C’est aussi potentiellement un piège à cons pour les gens trop curieux…C’est pour cela que j’adore ce réseau !


Pour revenir à notre histoire, vous savez qu'à la suite de la publication de ces rumeurs une enquête administrative a été lancée. Traduisez : nous avions une partie des services de renseignement français sur le dos. Imaginer leurs réactions lorsqu’ils ont compris que cette rumeur partait d’une ligne téléphonique piratée…Immédiatement, pour un esprit soupçonneux, cela a emmené à penser qu’il a peut avait peut être un complot. Mauvais réflexe car un autre piège à cons les attendait…Disons rapidement que ce second piège était dans le courrier électronique dans ma boite à lettre. Mon courrier laissait entendre que j'avais des contacts avec des membres du parti communiste travaillant à la mairie de Paris. Là encore dans le p’tit esprit d’un flic on imagine bien ce que cela pouvait entrainer…Rappelez vous, dans cette affaire, on a parlé d’hackers, de complot politique…de clapotis : c’étaient nous : la joyeuse bande de pieds nickelés !




Suite demain pour les détails si... le réseau fonctionne, si j'ai le temps d'écrire. Cela sera aussi en fonction de l’âge du capitaine, des heures de marée, de la pression atmosphérique et de mon humeur changeante. Pouf, pouf !

Cordialement."

Le rapport direct ou indirect avec l'article de M. Baubérot dans Libé ne m'a pas paru très évident et cette intrusion sur ma BALE (boîte à lettre électronique) quelque peu agressive (bien qu'au xième degré complétement loufoque : ce Monsieur est peut-être un disciple très caché de Pierre Dac)

Écrit par : J. F. Launay | 26/05/2011

@ J.L launay

Vous illustrez merveilleusement la maxime qui dit que l'homme est capable du meilleur comme du pire, mais c'est vraiment dans le pire qu'il est le meilleur...

Rappelons à J.L Launay que les neurones sont les unités élémentaires de l'intelligence. Le plus difficile chez vous c'est visiblement leur donner le gout du travail en équipe...

Vous venez de flinguer pas mal de famille Rmiste qui n'avaient pas les moyens de se payer le téléphone. Êtes vous fière de votre œuvre ?

Écrit par : david weber | 26/05/2011

@DW
Votre agressivité imbécile finit par lasser !

Écrit par : J. F. Launay | 27/05/2011

Les commentaires sont fermés.