Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/09/2009

Ce soir ou jamais!, la dite burqa et Vivre libre.

(Jeudi 1er ou Vendredi 2, un nouvelle Note qui, notamment, répondra à Marc-Paul)

 

Rapidement, au milieu d’une journée bien remplie, avec mille choses à faire, je voudrais revenir un peu sur l’émission « Ce soir ou jamais ! » à laquelle j’ai participé hier soir.

Le philosophe Paul Ricoeur m’a dit un jour que, chaque fois qu’il passait à la télévision, il était mécontent de ce qu’il avait dit (« cela va trop vite » précisait-il) et il « refaisait le film » toute la nuit.

Et là, précisait-il en souriant, « je me trouve très bon, mais c’est un peu tard… ».

 

Bon, je suis, disons, à moitié content. Ce soir ou jamais ! est, comme Frédéric Taddéi l’a d’ailleurs précisé, une émission « où l’on peut finir ses phrases ».Donc parmi ce qu’il y a de mieux dans le paysage audio-visuel.

Quel révélateur du système médiatique d’ailleurs dans ce simple constat ! Car il est bien exact que dans la majorité des émissions qui existent à la radio et à la télé, les invités ne sont pas assurés de pouvoir finir leurs phrases.

 

Mais il y a, ici comme ailleurs, les contraintes du système pèsent. J’ai pu voir un jour des archives de l’INA (Institut National Audiovisuel) et c’était extrêmement intéressant.

Il y a eu véritablement 2 époques.

La première, la télévision jouait un rôle pédagogique de vulgarisation du savoir. J’ai visionné des séquences de l’émission (d’alors) Lectures pour tous, avec Lévi-Strauss, Roland Barthes, Raymond Aron, Sartre, etc. 

C’était presque des cours, avec un rôle de médiateur du journaliste. Ses questions, ses remarques permettaient de rendre accessible ces « leçons » au public intéressé.

Et puis, arrive une rupture. L’ère Bernard-Henry Lévy. Là, le look devient prédominant (visage romantique, chemise blanche ouverte,…) et l’intellectuel médiatique, que dis-je, l’intellectuel show-biz est né.

Aujourd’hui, tout le monde doit tenir compte de ce contexte. Et du coup, on aimerait pouvoir approfondir davantage. Mais plusieurs sujets doivent être traités dans la même soirée.

 

Je n’ai donc dit qu’une partie de ce que je voulais dire.

J’ai tenté de poser une question. Dans une société qui privilégie les propos blocs, est-il possible d’avoir une position dialectique, d’être à la fois contre la burqa et contre une éventuelle loi l’interdisant?

 

Il est possible de reprendre une partie du problème, celle qui est en lien avec de précédentes Notes sur « Vivre libre ».

Vivre libre suppose à la fois, d’un point de vue laïque, liberté de penser et liberté de conscience.

Plus précisément encore : la liberté de penser, dans le cadre de la liberté de conscience.

 

La première raison du fait qu’une loi interdisant la burqa ne peut pas être prise au nom de la laïcité est que l’impératif de la liberté de conscience est le premier impératif laïque.

Bien sur, cette liberté ne se module pas de la même manière suivant les lieux et les rôles sociaux.

Mais dans l’espace public de la société civile, elle doit être la plus large possible. Elle inclut la liberté de manifester sa religion, la libre expression religieuse comme non religieuse.

C’est cela la laïcité républicaine, telle qu’elle a été construite sous la Troisième République, dans le cadre des lois de libertés votées des années 1880 à 1905.

Liberté de réunion, de colportage, de la presse, des syndicats, liberté d’association, séparation des Eglises et de l’Etat qui donne plus de liberté aux Eglises,....

C’est la Révolution jacobine, République absolue héritière de la Monarchie absolue et mère du Bonapartisme qui a voulu expurger le religieux de l’espace publique : enlever les calvaires, débaptiser les noms de lieux rappelant des saints, etc

Cela on ne songe pas une seconde à l’appliquer aujourd’hui au catholicisme. En revanche, pour l’islam, la tentation est toujours là.

 

La mémoire est souvent obscurantiste par rapport à l’histoire, à cause de ses déviations idéologiques.[1] Ainsi, on raconte partout que « l’école, en France, est gratuite laïque et obligatoire ».

Or cela n’a jamais été le cas. L’école publique est gratuite et laïque, l’instruction est obligatoire. Ce n’est pas du tout la même chose. L’école publique est laïque, dans le cadre de la liberté de l’enseignement

Et Jules Ferry a prononcé un discours très important, et trop méconnu, où il expliquait que cette liberté était indispensable à la laïcité elle-même.

 

Cette façon  de voir les choses a joué même pour quelque chose qui était bien le moins que l’on pouvait faire quand on instaurait la laïcité scolaire: enlever le crucifix des salles de classe.

On a veillé, même là (alors que cela concernait l’institution elle-même) à ce respect de la liberté de conscience.

La circulaire ministérielle à ce sujet est très claire : On enlèvera les crucifix au moment « impossible [à] préciser, [où] les hommes de bonne foi reconnaîtront que la place du crucifix est à l’église et non à l’école. »

Cela signifie que tant que les gens ne le comprennent pas, il est inutile, voire contre-productif, d’enlever autoritairement les crucifix, alors même que c’est dans la logique de la laïcité.

 

Et un chercheur japonais Kiyonobu Date a montré que l’historien devait faire de la dentelle pour pouvoir établir où le crucifix avait été enlevé et où il avait été maintenu.

Dans le département du Nord, certains bourgs sont surtout peuplés de socialistes guesdistes (adeptes du leader socialiste Jules Guesde) : on enlève ; d’autres d’ouvriers catholiques, on garde le crucifix fort longtemps.

 

En 1904, Jaurès affirme explicitement qu’il ne faut pas obliger autoritairement l’Eglise catholique à abandonner, dans ses structures, ce qui va contre la liberté de penser (l’aspect très hiérarchique et dogmatique, qui s’imposait alors).

Il faut compter avec une évolution interne où les catholiques s’acclimateront progressivement à la laïcité, en comprenant de mieux en mieux que la laïcité ne va pas à l’encontre de la liberté de conscience.

 

S’il est nécessaire malgré tout d’être répressif par rapport à des traditions qui créent un destin irréversible (l’excision par exemple), il en va autrement de ce qui est réversible.

Une burqa, cela s’enlève, même si ce n’est pas forcément évident de le faire. Mais se libérer n’est jamais une mince affaire.

 

Et c’est là qu’il faut se montrer dialectique.

Un des aspects contreproductif de l’éventualité d’une loi (en plus de ceux que j’ai indiqués à l’émission) serait, par volonté de défendre la liberté de conscience, de taire les critiques que l’on peut faire à la burqa.

Plusieurs l’ont écrit : c’est déjà un résultat très néfaste de la création, en urgence, de cette Commission :

Alors que plus de 90% des musulmans français sont contre la burqa, le fait que les quelques centaines de femmes qui la portent risquent d’être de futures victimes, risque de faire taire les objections contre la burqa.

 

Or précisément, et je crois me souvenir que Fr. Lalanne l'a indiqué dans le débat d'hier soir,  la ‘communauté musulmane’ (terme commode, on sait bien qu’elle est plurielle) doit débattre de la burqa, comme de bien d’autres choses.

C’est exactement l’application de ce que disait Jaurès en 1904 à propos des catholiques et de la laïcité.

J’ajouterai que des débats de ce type n’ont pas à se tenir en vase clos, ni pour l’islam ni pour aucune autre religion et conviction.

Nous ne sommes pas une juxtaposition d’individus, de groupes, de communautés mais des personnes et des collectivités en interrelation, en reconnaissance réciproque.

 

De même que j’ai donné mon avis à propos de la récente décision du Grand Orient, ou que j’ai dit publiquement en certaines circonstances que je regrettais le non accès des femmes à la prêtrise, et que je m’interrogeais sur sa signification ;

De même chacun peut avoir son avis sur la burqa et participer à un débat sur ce sujet. Quand il m’est arrivé de parler à des femmes portant la burqa, je leur ai dit franchement mon désaccord.

 

Pour moi, la burqa est une sorte d’uniforme intégral, et dans uniforme, il y a uniformisation.

Un uniforme partiel peut être une façon de visibiliser une identité. Un uniforme intégral, comme la burqa, pose un important problème.

Je parle, naturellement, de la burqa choisie, pas de la burqa subie, qui elle, pose en outre le grave problème de la domination homme/femme.

En effet, en choisissant de porter une burqa, la personne s’englobe dans une identité et, à partir de cet englobement, elle gomme ses autres singularités, ses autres caractéristiques individuelles :

son âge, sa silhouette, son sexe même (car après tout qui peut assurer qu’une personne en burqa est bien une femme ?), tout ce que peut dire son visage, etc

Avec une burqa, impossible de sourire.

 

Un visage est une présentation de soi à autrui, une façon de conjuguer individualité et appartenance à la société. Une mise en communication non verbale, qui complète l’autre.

Avec la burqa, les deux sont mises  en cause.

Mais la mise en cause de l’individualité est, à mon sens, doublement beaucoup plus grave que celle de l’appartenance à la société (alors que c’est, généralement, la « provocation » à l’égard de la société qui émeut).

Sans doute, certaines personnes portent la burqa parce que la société établie ne leur est guère supportable. Et il y a, en effet, mille raisons de contester la société.

 

Cependant,

- d’une part, je pense que le retrait de la société n’est pas la bonne façon de la contester. C’est une façon non solidaire, où on court le risque de se croire « pur » et de voir les autres comme « impurs ».

Il y a beaucoup d’illusion égocentrique dans cette croyance à la pureté (que la burqa n’est pas la seule, loin de là, à manifester)

- d’autre part, en fait, la burqa pousse au paroxysme l’uniformisation, la standardisation des personnes opérées par la marchandisation globale de la société.

Des personnes en burqa ne sont plus identifiables en tant que telles, elles ne sont plus individualisables. Il y a perte d’individualité. C'est également une exacerbation du look; de "l'habit qui fait le moine".

BHL et burqa = même combat

La burqa se veut contestation de la société marchande, et de la perte de sens qu’elle implique, elle n’en est que la caricature.

 

Mais dire cela implique 2 choses :

1)      D’abord, être logiquement contre une interdiction qui va court-circuiter la parole, la confrontation (ce qui ne signifie pas une absence totale de réglementation : on ne peut confier, à la sortie d’une école, un enfant à quelqu’un que l’on ne peut identifier comme étant la mère ou une personne apte à avoir cet enfant).

2)      Ensuite, ne pas se situer soi-même dans le même englobement : quand j’ai dialogué avec des femmes en burqa, j’ai vite dépassé le choc que leur tenue me causait, pour leur parler en tant qu’individu autonome, au même titre que moi.



[1] Je vais vous donner bientôt un autre exemple : une stupidité affirmée péremptoirement par le Haut Conseil à l’Intégration, qui aurait pourtant le DEVOIR de ne pas écrire des choses aussi fausses.

11:33 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (15)

Commentaires

Personne dans cette émission ne représentait les filles qui ont réussi à convaincre Eric Besson de changer d'avis sur la nécessité de légiférer sur la burka. C'est dire la liberté d'expression qui règne sur les plateaux de télé et l'"endoctrinement auquel est soumis le téléspectateur. Au contraire, il y avait Tarik Ramadan, bien connu pour défendre l'égalité hommes-femmes. Même les jeunes femmes, dont une chanteuse, ne voyaient rien de choquant à la burka, de peur de paraitre trop "émotionnelle", alors que ce vetement est porté comme un stigmate d'infériorité ontologique. Une s'est offert même le luxe de prétendre que des tenues dans telle émission de télé réalité la choquaient plus que la burka. Mince, la burka, portée par les femmes pour ne pas "provoquer" la libido masculine, parce que la femme est un objet sexuel avant toute chose, est un vêtement respectable bien plus que le string ou le bikini ou la mini jupe. Elle mérite d'être prise au mot pour tant de sottises.
Une chose m'a fait tiquer : c'est quand M Bauberot a dit que le parlement était mal placé pour légiférier sur la burka puisque sa composition est loin de respecter la parité. Avec ce genre de remarque, la condition des femmes n'aurait jamais évolué en France ! Tous les droits acquis par les femmes sans qu'elles ne se soient mobilisées directement pour les obtenir, tels que le partage de l'autorité parentale et tant d'autres auraient pu attendre encore longtemps. Supposons que l'on raisonne de la même façon pour tout : le parlement n'a pas le droit de légiférer contre les fraudeurs puisque tous les partis fricotent plus ou moins.
La laîcité c'est le respect de la liberté de conscience. Mais pourquoi ne tenir compte que des burkas libres et non pas des burkas imposées, plus nombreuses ? S'est-on assuré au moins que toutes les porteuses de burka étaient libres de la porter ? On suppose qu'elles la portent librement. C'est tellement plus commode.
Désolée de jouer les grincheuses, mais ce n'est pas pour le plaisir, loin de là. Quand je vois un sikh avec son turban, je m'en contrefiche, c'est son affaire, je ne me sens pas concefnée. La burka est un vêtement qui a vocation à être imposé à terme à toutes les femmes sans distinction de religion. Chacun ses peurs, ses émotions : les bien pensants ont peur de l'extreme-droite, Fadela amara nous a même dit qu'elle craignait à terme l'équivalent de la shoah pour les musulmans.

Écrit par : gigi-3 | 23/09/2009

Désole, je suis obligé de répondre au dernier post de gigi-3.
On reconnaît là le discour feministe présenté moderne, qui est prêt à mettre à plat toutes les aqcuis républicains tel que : la liberté de pensé, le pluralisme, la liberté de culte pour "une laïcité" dévoyée, immorale et anti-republicaine. Description d'une idéologie régressive qui au nom de la lutte contre le péril vert est prête "au pire" à porter pour modèle le régime de ben ali en Tunisie;

D'ailleurs une phrase illustre de bien de certitudes dans l'ignorance.
Vous croyez exprimer quoi cher Gigi-3 lorsque vous dites : "...il y avait Tarik Ramadan, bien connu pour défendre l'égalité hommes-femmes"?
Etes vous UNE SEULE fois aller à un colloque ou une conférence de monsieur Ramadan? UNE SEULE fois?
Alors lisez bien ce qu'exprime quelqu'un qui a assisté loin de la polémique et de la propagande consensuelle différentes conférences de Monsieur Ramadan, C'EST UN FEMINISTE!

Sur ce dernier point que dire, je sais que tu ne me croiras pas et en réalité c'est juste pour le kiffe de te faire passer la vérité sous le nez sachant pertinement que tu ne sauras jamais la saisir.

Écrit par : Florian R. | 23/09/2009

Florian R, merci de montrer que mes craintes ne sont pas pur fantasme !

Écrit par : gigi-3 | 24/09/2009

Vous écrivez "tant que les gens ne le comprennent pas, il est inutile, voire contre-productif, d’enlever autoritairement les crucifix, alors même que c’est dans la logique de la laïcité".
Mais alors votre "dialectique" c'est tout simplement la tyrannie de la majorité ("les gens")! En tant que Polonais je suis attristé par vos propos pseudo laiques: votre logique légitime les crucifix dans les écoles en Pologne, ainsi qu'au Parlement... Et toute la discrimination des athées qui va avec... A cause de votre influence c'est pas pour demain qu'on aura une vraie democratie en Pologne!

Écrit par : sebastien | 24/09/2009

"La burka se veut contestation de la société marchande"?
Nous allons bientôt apprendre qu'elle permet de lutter contre le réchauffement climatique!
La laîcité a été imposée par la violence en France:sans contrainte il y aurait encore des crucifix dans les tribunaux et les écoles.
Le plateau de "ce soir où jamais",conçu pour servir Tarik Ramadan,ce Lalanne affligeant ,véritable dhimmi au service du Maître,("je parle sous ton contrôle Tarik")
visiblement gêné par tant de servilité,Mr Bauberot vous qui deviez vous exprimer au nom de la laîcité ,qu'alliez-vous faire dans cette galère?

Écrit par : Marc Paul | 28/09/2009

Intéressant point de vue, par la manière

Écrit par : Hotel Booking | 28/09/2009

Marc PaulSi on veut interdire la burqa, pourquoi ne pas interdire sur la base des mêmes raisons les jeux sadomasochistes qui malmènent l'égalité et la fraternité ? Pourtant, pour certains, cette idée ne viendrait pas à l'esprit puisque cela ne se fait pas dans l'espace public, cela relève uniquement de la vie privée. En attendant, les violences conjugales, elles aussi du domaine privé, ne baissent pas... Avec le cortège de mortEs chaque année.

Écrit par : Gilles | 29/09/2009

@Gilles
Le voile intégral entre autres vertus protègerait des violences conjugales?
Quant au sadomasochisme, le fait d'imposer ou de s'imposer le port du voile intégral ,ça y ressemble.

Écrit par : Marc Paul | 29/09/2009

Une loi sur le voile intégral (qui ne tue personne) n'aura aucun impact sur les violences conjugales (qui tue beaucoup de femmes). Je trouve cette disproportion des moyens par rapport à la situation parlante.

Je n'ai compris ce que vous décideriez pour le sadomasochisme : devrait-on avoir une loi pour l'interdire ?

Écrit par : Gilles | 02/10/2009

Le voile intégral ne tue personne ?
Vous n'avez jamais entendu parler des algériennes qui ont été assassinées au début des années 90 parce qu'elles refusaient de porter le voile?
Je n'ai pas d'opinion sur le sadomasochisme ,c'est vous qui avez initié le sujet.
Si vous voulez en savoir plus consultez les sites spécialisés.

Écrit par : Marc Paul | 04/10/2009

Le débat sur la Burqa dans le contexte actuel ? Un Indécent Racolage !


Ce n'est qu'une opération politicienne de re-mobilisation «à droite toute» !

La thématique = association de l'Identité Nationale et de la Burqa
Le timing = période pré-électorale avec crise de confiance au-sein de l'électorat de droite

font de ce pseudo débat "citoyen" une véritable opération de manipulation d'un Besson en service commandé de racolage !


Anecdote qui allège le sujet, une illustration étonnante du 'catapultage' de l'actualité, la sortie aujourd'hui d'une video qui fera polémique : la plus sexy des burqas à voir sans faute, vue sur pnyx.com/fr_fr/sondage/380

Écrit par : Orange | 26/10/2009

J'ai suivi votre conseil et je suis allé voir la vidéo que vous recommandez.
Merci de nous informer quand il y aura une vidéo porno-burka ce qui ne saurait tarder.
Reconnaissez que nous nous éloignons des thèmes de la laïcité auquels ce blog est dédié.
Le reste de votre post est incommentable.

Écrit par : Marc Paul | 27/10/2009

Vous dites pour le catholicisme "(l’aspect très hiérarchique et dogmatique, qui s’imposait alors)."

Pourquoi "alors" ?

Vous pensez que peut-être ce ne serait plus le cas aujourd'hui ? Vous êtes bien optimiste.

Écrit par : Ben | 16/12/2009

Au fond, si l’on souhaite vraiment une mesure d’interdiction applicable, il faudrait interdire non pas le port de la burqa mais la burqa elle-même, à l’instar du haschisch.

Ainsi, toute personne surprise en flagrant délit de détention de burqa pourrait se voir placé en garde à vue (avec confiscation de l’objet et destruction immédiate) et se trouverait passible d’une peine d’amende

Écrit par : gants | 05/04/2010

well i like your post . .the information in your post is quite good;) . .nice work .. Thanks a lot keep sharing:)

Écrit par : Dissertations Writing | 08/10/2010

Les commentaires sont fermés.