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12/12/2009

Lettre de Mouloud Baubérot à Nicolas Sarkozy

Cher Nicolas, Mon cher compatriote,

 

Tu as écrit une tribune dans Le Monde (9 décembre) qui a retenu toute mon attention. En effet, tu t’adresse à tes « compatriotes musulmans », et c’est mon cas, moi Mouloud Baubérot, frère siamois de celui qui tient ce blog.

Comme une lettre ne doit pas rester sans réponse, alors j’ai décidé, à mon tour de t’écrire. Après tout, toi aussi tu es mon « compatriote ». Et puis, comme je suis professeur d’histoire en terminale, j’ai l’habitude de corriger des copies.

 

Nous allons le voir, il y a plein de belles idées dans ta lettre, et je vais pouvoir te citer souvent.

Mais tu t’as commis une légère erreur de perspective, qui gâche un peu ton propos. Et comme cela vous concerne en particulier ton frère siamois et toi, permets moi de la rectifier.

 

Avant, par politesse, il faut que je me présente très brièvement. Ma famille provient d'Alger, ville française depuis 1834 et chef lieu d’un département français depuis 1848. Nous sommes donc d’anciens Français.

D’autres nous ont rejoint peu de temps après et sont devenus Français, en 1870, tel les Niçois et les Savoyards.° Nous avons intégré volontiers ces "nouveaux arrivants" et avons ajouté la pizza à nos coutumes alimentaires.

 

Et au siècle suivant, d’autres sont encore venus. Certains de l’Europe centrale, bien différente de notre civilisation méditerranéenne. Mais, comme tu l’écris très bien, nous sommes très « accueillants », nous autres.

Alors nous avons donc accueilli parmi eux, un certain Paul Sarkozy de Nagy-Bosca, qui fuyait l’avancée de l’Armée Rouge en 1944.

Nous sommes tellement « accueillants » que nous avons fait de son fils, ton frère siamois, immigré de la seconde génération, un Président de notre belle République.

Comment être plus accueillants ?

 

Mais faudrait quand même pas tout confondre : entre lui et moi vois-tu, c’est moi qui accueille, et lui qui est accueilli. Ne l’oublie pas.

 

Ceci précisé, je suis tout à fait d’accord avec ce que tu écris :

Moi, Mouloud, l’accueillant, j’offre à ton frère siamois et à toi-même, « la reconnaissance de ce que l’autre peut lui apporter ». Mais je demande, à « celui qui arrive,  le respect de ce qui était là avant vous »

Et, je vais y revenir, quand les Sarkozy sont devenus Français, le ciel de Paris s’ornait d’une Grande Mosquée, avec un beau minaret.

 

Je suis d’accord, moi Mouloud qui t’accueille, je dois te faire « l’offre de partager (mon) héritage, (mon) histoire [y compris en classe de terminale], (ma) civilisation), (mon) art de vivre. »

Tiens, je t’invite volontiers à venir manger un couscous avec moi.

 

Mais, naturellement, toi « qui arrive », ou toi dont c’est juste le père qui est arrivé, je te demande, comme tu l’écris toi-même, d’avoir « la volonté de (t)’inscrire sans brutalité, comme naturellement, dans cette société que (tu vas) contribuer à transformer, dans cette histoire que (tu vas) désormais contribuer à écrire. »

 

« Sans brutalité » : tu as bien raison, c’est important ça.

Nous, anciens Français, nous ne jouons pas au matamore, aux « tu causes tu causes, c’est tout ce que tu sais faire » ; nous n’aimons pas trop tout ce qui est « bling-bling ».

Nous aimons, tu le soulignes, « l’humble discrétion » et nous comptons sur toi pour être exemplaire dans ce domaine.

Nous comptons sur toi, pour, comme tu l’affirmes que cela doit être le cas des « nouveaux arrivants », de te « garder de toute ostentation et de toute provocation ».

 Car, toi dont le père a fui le totalitarisme, tu dois être bien « conscient de la chance que (tu as) de vivre sur une terre de liberté ».

Et cela te donne le devoir de n'en supprimer aucune.

 

Contrairement à moi, puisque tu n’es en France que depuis une seule génération, tu as encore beaucoup de choses à apprendre quant aux « valeurs de la République (qui) sont partie intégrante de notre identité nationale ».

Vu ta fonction, il faut que tu l’apprennes vite car « tout ce qui pourrait apparaître comme un défi lancé à cet héritage et à ces valeurs condamnerait à l’échec. »

Mais, je ne suis pas inquiet : tu es très doué

Donc, il suffit que je te précise un peu les choses, notamment sur la laïcité dont je parle souvent à mes élèves dans mes cours de terminale, et tu obtiendras une brillante note.

 

D’abord, la laïcité, ce n’est nullement « la séparation du temporel et du spirituel » comme tu l’écris.  

Cette expression, elle fleure le Moyen Age, la société de chrétienté, bref l’exact contraire de la société laïque.

Comme tu as publié ta tribune le 9 décembre, jour anniversaire de la « séparation des Eglises et de l’Etat », ta formule est particulièrement malheureuse.

Le « spirituel » et le « temporel », ce sont des notions théologiques, et cela connotait des pouvoirs.

La lutte de l’Empereur et du Pape, c’était la lutte du « pouvoir temporel » pour s’imposer face au « pouvoir spirituel ». Deux souverainetés.

En laïcité, seul « le peuple » est souverain, et donc le seul « pouvoir » est le pouvoir politique qui émane de lui. Le pouvoir, écrit Max Weber, a « le monopole de la violence légitime » : il peut réprimer par la loi.

La religion n’est pas sur le même plan. Et peut avoir, elle, autorité, si l'on est convaincu de sa validité.

Mais elle ne doit pas disposer de pouvoir.

 

Bon, la première leçon étant apprise, passons à la seconde.

Elle concerne aussi la laïcité.

Tu fais preuve d'une curieuse obsession des minarets et tu sembles assez ignorant à ce sujet.

Pour être concret, je vais te raconter l’histoire de France en la reliant à ma propre histoire d’ancien Français, du temps où toi, tu ne l’étais pas encore.

Pendant la guerre 1914-1918, mon arrière grand-père est mort au front, comme, malheureusement, beaucoup de Français, de diverses régions : Algérie, Savoie, ou Limousin, « petite patrie » de mon frère siamois.

Mais si je te raconte cela, ce n’est pas pour me cantonner dans la petite histoire, celle de ma famille, c’est pour rappeler l’Histoire tout court.

Car nous avons été environ 100000, oui cent mille, musulmans a mourir au combat pour la France.

Nous étions déjà tellement « arrivés » en France, que nous y sommes morts !

 

Ces combats avaient lieu dans cette partie de la France appelée « métropole ». Ma famille y était venue, à cette occasion, et elle y est restée. A Paris, précisément.

Comme nous commencions à être assez nombreux, et provenant, outre la France, de différents pays, la République laïque a eu une très bonne idée : construire une mosquée, avec un beau minaret bien sûr.

Elle avait décidé, en 1905, de « garantir le libre exercice du culte » (Article I de la loi de séparation).

« Garantir », c’est plus que respecter. C’est prendre les dispositions nécessaires pour assurer son bon fonctionnement.

 

Pourquoi passes-tu tant de temps, dans ton texte, à nous parler des minarets ?

Cela n’a vraiment pas été un problème. Bien au contraire.

Et pourtant, ils étaient très laïques, tu sais, plus laïques que toi, mon cher chanoine, les rad’soc (radicaux-socialistes), les Edouard Herriot, ou Léon Bourgeois (un des « pères » de la morale laïque) qui ont pris la décision de consacrer des fonds publics à la construction de cette mosquée, de ce minaret.

 

Tu sais, j’aime bien fréquenter les bibliothèques. J’y ai trouvé un ouvrage d’un historien qui retrace l’histoire de cette construction. Et c’est fort intéressant.

« Il est a remarquer, écrit son auteur, Alain Boyer, que personne n’a soulevé à l’époque le problème de la compatibilité de cette subvention avec l’article 2 de la loi de 1905, concernant la séparation des Eglises et de l’Etat qui dispose la République ne reconnaît ni ne subventionne aucun culte ; il aurait pu d’ailleurs être répondu que l’Etat ne finançait que la partie culturelle, l’institut, et non pas la mosquée proprement dite, c'est-à-dire le lieu de culte. »[1]

 

« Il aurait pu être répondu» :

Donc c’est sans doute plus tard que l’on a justifié ainsi les subventions de l’Etat et de la ville de Paris. Sur le moment, on s’est contenté de trouver cette construction nullement incompatible avec la loi de séparation.

C’est ce que l’on appelle une rationalisation a posteriori.

 

Vois-tu, comme moi aussi je suis historien, je me permets une autre interprétation, qui me semble fort plausible.

On a (aussi) raisonné par analogie : en effet la conséquence de l’article 1 de la loi de 1905, de sa garantie du libre exercice des cultes avait été double :

-         d’une part la mise à disposition gracieuse (donc manque à gagner par absence de loyer!) des édifices du culte existants en 1905 et propriété publique (des milliers et des milliers !), mise à dispostion aux religions correspondantes à ces édifices (et on y a ajouté presque tout de suite le droit de faire des réparations sur fonds publics) ;

-         d’autre part, la possibilité (prévue dans l’article 2 lui-même) de payer des aumôniers pour garantir le libre exercice du culte dans les lieux clos : hôpitaux, prisons, armée, internats des lycées,…

 

On s’est dit : étant donné tout ce que l’on consent financièrement pour garantir l’exercice des cultes catholique, juif, protestant, c’est bien le moins de donner des subventions publiques pour une Grande mosquée et son minaret.

D’ailleurs le père de la loi de 1905 Aristide Briand avait dit à son propos : « En cas de silence des textes ou de doute sur leur portée, c’est la solution libérale qui sera la plus conforme à la pensée du législateur. »

 

 

De plus, et je vais t’étonner Nicolas, les laïques, ils aimaient bien les minarets.

Quand on a posé la 1ère pierre de la mosquée, le maréchal Lyautey a fait un très beau discours. Il a déclaré :

« Quand s’érigera le minaret que vous allez construire, il montera vers le beau ciel de l’Ile de  France qu’une prière de plus dont les tours catholiques de Notre-Dame ne seront point jalouses. »

Et tous les dirigeants et militants laïques présents l’ont chaleureusement applaudi.

 

Ils étaient comme cela les laïques : ils assumaient, mais ne voulaient pas « valoriser » les « racines chrétiennes de la France ».

Ils estimaient, au contraire, que le pluralisme religieux faisait partie de son histoire, de son identité nationale laïque.

Et plus il y avait de prières différentes, plus ils étaient contents.

 

J’ai plein d’autres choses à t’écrire à propos de ton discours. Mais la bonne pédagogie veut que l’on ne cherche pas à en dire trop en une seule fois.

Pour le moment, assimile bien ces deux premières leçons.

Ecris nous vite une seconde tribune qui rectifie le tir.

Et on reviendra ensuite sur le « communautarisme » notamment, car la (en un seul mot ?) il y a aussi quelques petites choses à reprendre.

 

Ton cher compatriote

Mouloud Baubérot

 

°Effectivement, comme 2 commentateurs l'ont fait remarquer: c'est en 1860 et non en 1870 que Nice et la Savoie sont devenus français. "Pan sur le bec", comme l'écrirait le Canard Enchainé

Mais il est exact aussi que cela ne change pas la démonstration et que, "citoyens" pour quelques uns ou "sujets" pour la plupart, les habitants des colonies étaient français.

Et sur cette dualité sujet-citoyen, le Blog en a déjà parlé à plusieurs reprises, notamment dans les Notes consacrées au livre de T. Shepard sur l'Algérie. Cette Note ne pouvait pas reprendre tous les problèmes. Vu les réactions (sur et hors du Blog), il semble qu'elle ait atteint son but.

  

 

 

 

 

 



[1] A. Boyer, L’Institut musulman de la Mosquée de Paris, Paris, CREAM, 1992, p. 26.

12:04 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (31)

Commentaires

Cher monsieur Baubérot (Mouloud ou Jean, je ne sais pas), fidèle lecteur et admirateur de votre travail, je me permets de vous conseiller de relire vos billets avant de cliquer sur le bouton "publier". Les lapsi calami ne sont pas dramatiques mais font un désordre qui en fin de compte affaiblit votre salutaire propos. Ainsi aujourd'hui, de la part d'un prof d'histoire censé corriger la copie du président, retarder de 10 années l'annexion du comté de Nice et de la Savoie par la France, c'est pas sérieux... Pardonnez cet accès de pédantisme. Bien à vous.

Écrit par : cercamon | 12/12/2009

Mouloud a des troubles de mémoire évidents. Au temps de la construction de la mosquée de Paris, ses coreligionnaires étaient régis par "le code de l'indigénat" et ne votaient même pas. De plus, si je ne m'abuse, je crois me souvenir que depuis l'Algérie, dans les années 60, on parlait beaucoup de "valise ou du cercueil" plutôt que d'accueil des parents du "petit Nicolas".
Quant à Lyautey s'extasiant sur le "beau minaret" de la mosquée de Paris, si je ne m'abuse une nouvelle fois, cela ne fait qu'une personne et non pas la palanquée de laîcs dont cause Mouloud.

Écrit par : gigi-3 | 12/12/2009

Moi, Pascal Hilout, né Mohamed, vous dis tout simplement que depuis 1830, nous déambulons autour du pot sacré.

Tous en rond : Mouloud, Nicolas et Jean, sans exception.

L'islam=coran+Mahomet n'a jamais été et ne sera jamais compatible avec la Liberté, l'Egalité et la Fraternité. Tant que nous vénérerons le coran et Mahomet et les préserverons de toute critique citoyenne, nous perdrons du temps sur l'émancipation des musulmanes et des musulmans, d'Ici et Maintenant.

Si Mouloud, Nicolas et Jean ne comprennent pas cela, c'est qu'ils ne le veulent pas.

La question islamique s'ajoute à la question sociale et la question sociale ne m'a pas attendu, moi le musulman, pour se poser.

Devant les parlementaires, j'ai expliqué ce que nous ne voulons pas regarder en face et nous allons dans le mur.

Regardez et écoutez, cela pourra, peut être, vous profiter :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/commissions/voile-integral/voile-integral-20091202-3.asp

Écrit par : MPHilout | 12/12/2009

pour gigi-3: "Sans valise ni cercueil, les pieds-noirs restés en Algérie":
http://www.monde-diplomatique.fr/2008/05/DAUM/15870
Par ailleurs, écoutez donc ce chant http://musique-militaire.fr/Les_Africains.html en pensant aux milliers de tirailleurs africains envoyés en première ligne comme "chaire à canon" pour " porter haut et fier
Le beau drapeau de notre France entière" en 14-18 et en 39-45... et pensez à comment "la république reconnaissante" les a remercié, dès le 8 mai 1945 à sétif, en massacrant de 7000 à 15000 "musulmans"...

Hé, m'sieu Hilout, j'vous propose "réaction laïque" plutôt que "riposte laïque", ça vous va mieux...
Et svp, ne venez pas polluer ce joli blog avec vos propos chauvins et xénophobes, ça serait sympa.

A voire aussi la chronique de didier porte, trop drôle: http://sites.radiofrance.fr/franceinter/chro/didierporte/index.php?id=86278

Sinon excellent billet M. Mouloud Baubérot. Vous êtes bien meilleur que votre frère Jean! lol

Écrit par : H95 | 12/12/2009

Cher Jean Baubérot,
2 petites remarques à Mouloud :
1) Effectivement, le rattachement de Nice et de la Savoie datent de 1860 et non de 1870, mais cela ne change rien à sa démonstration.
2) Lors de l’arrivée de papa Sarkozy en France, en 1944, le papa de Mouloud ne faisait pas vraiment parti du comité d’accueil. En effet, sauf erreur, il n’était pas citoyen, mais sujet français : il était donc là plutôt pour faire le service et ramasser les poubelles. J’imagine que papa Sarkozy, tout juste Français mais Français à part entière, et déjà imprégnée, lui, de notre belle identité nationale, a montré son intégration immédiate en lui filant une piécette et lui soufflant « Merci mon brave ».
Cela me fait craindre que le fils Sarkozy, très au fait de nos valeurs et de leur hiérarchie, n’ignore complètement les 2 premières leçons de Mouloud, qui débordent un peu de « l'humble discrétion » recommandée dans la tribune à ses semblables. Si Mouloud attend qu’il la rectifie avant de préparer les leçons suivantes, elles risquent de nous passer sous le nez. Pourriez-vous lui suggérer d’anticiper ?
Merci d’avance

Écrit par : Pierre DELMAS | 12/12/2009

C'est à un dîner de dupes que Jean nous a convié aujourd'hui :

Il fait semblant de pouvoir avoir un alter ego nommé Mouloud sans exiger que ce dernier ne donne un bon coup de pied dans les consignes liberticides, sexistes, séparatistes et ségrégationnistes inscrites noir sur blanc dans le coran et confirmées par la pratique de Mahomet.

La France en Algérie a eu au moins l'honnêteté d'être claire : elle a dit à Mouloud et à Joseph « entre statut personnel de citoyen français et statut personnel islamique resp. statut judaïque, tu peux choisir. Ils sont incompatibles ! » La majorité des Mouloud ont fait le mauvais choix. Une bonne partie des Joseph a fait le bon choix et Crémieux a fini par naturaliser les retardataires.

Et c’est ainsi qu’en Algérie, le code de l'infamie est toujours en vigueur. Les Algériennes sont toujours considérées comme des mineures à vie et donnent naissance à des enfants qui n’ont qu’un rêve : quitter leur matrie.

Le code islamique, jamais déclaré archaïque et caduc par Jean-Mouloud stipule : la voilée est une musulmane et elle est réservée aux musulmans et aux convertis bien circoncis ! Jean soutient le voile et ne voulait pas de l’obligation de se dévoiler à l’intérieur des écoles publiques !

Adieu donc le melting-pot mon pote Jean-Mouloud !

Le creuset de fusion n'est rien d'autre que le ventre de nos mères, là où nous avons tous été conçus. C'est cela qui a permis aux Polonais, Italiens, Hongrois, Russes... de fusionner en France. Et c’est cet interdit entre autres interdits (alimentaires, aqua-vestimentaires, sexuels, sépulcraux..) qui rendent cela impossible à ceux qui s'accrochent aux prescriptions séparatistes et ségrégationniste de l'islam. Ces prescriptions sont immondes et Jean-Mouloud n'a pas le courage intellectuel pour
(se) l'avouer.

Il aimerait finalement que chacun reste chez soi, à part ou à l'écart ! Pour cela, il est prêt à accepter des accommodzments déraisonnables.

Avec des religions à interdits comme le judaïsme et l'islam, nous pourrons à la rigueur vivre et mourir à part ou à l'écart, mais certainement pas ensemble et en fusion...

Oui Jean, j'aimerais bien que la musulmane devienne un creuset de fusion avec le reste de l'humanité et sorte enfin les musulmans de leur monde confiné qui commencent à sentir mauvais. C'est en donnant un bon coup de pied dans le derrière de l'islam=coran+Mahomet que nous pourrons y arriver. L’émancipation de nos concitoyennes musulmanes est crucial pour les musulmans et pour les non-musulmans.

Vous n’y contribuez pas Jean-Mouloud et freiner même des quatre fers.
Les musulmans progressistes ne vous diront pas merci.

Écrit par : MPHilout | 13/12/2009

Bonjour Mouloud,
J'ai été impressionné par la légimité et l'ancienneté de ton identité française.
Peux-tu me dire si ton épouse et tes filles portent le voile simple ou le voile intégral?Je suis sûr que, comme la majorité des musumans de France(et comme ton frère jumeau) tu désapprouve le port de ces signes religieux mais que tu ne supporterais pas qu'une loi scélérate les interdise.
Je suis sûr que tu as salué comme il se doit avec un drapeau algérien les exploits des footballeurs algériens:mais faisais-tu partie des foules qui manifestaient leur enthousiasme en brûlant des voitures et en cassant des magasins?
Dans quelques mois "les fennechs" vont à nouveau briller:que me conseilles-tu de faire pour que que ma 205 ne parte pas en fumée?
(elle a 200000km mais elle est bien entretenue)

Merci de me répondre.

Écrit par : Marc Paul | 13/12/2009

H95, pendant que, ainsi que nous en informe votre article du Monde diplo (hum, la référence !) quelques pieds-noirs sont restés en Algérie, en restant parfaitement eux-mêmes, il y a des chrétiens à qui on mène la vie dure actuellement dans ce même pays. Cherchez l'erreur, Mouloud.
Quant aux tirailleurs sénégalais, depuis la guerre de 14, ils ont obtenu l'indépendance de leur pays, contre la France. Contrairement à votre politique fiction, d'apparence bisounouresque, il aurait été impossible de maintenir des pays musulmans dans la France républicaine. Comment faire cohabiter au sein de la RF la charia algérienne sans que cette dernière renie ses propres principes humanistes tels que les droits individuels pour tous et toutes ? Comment accepter dans une même démocratie que les unes puissent hériter de leurs parents et pas les autres, pour raisons religieuses ? Comment accepter que les uns puissent épouser plusieurs femmes à la fois et les répudier alors que les autres ne peuvent en épouser qu'une seule et ne peuvent en divorcer qu'en passant devant le juge civil ? Comment accepter que des parents décident de marier leurs filles avant l'âge de 15 ans et sans leur consentement ?

Écrit par : gigi-3 | 13/12/2009

1) un prof d'histoire en Terminale qui ne sait pas que Nice et la Savoie ont été annexés à la France en 1859 (1860) et non en 1870, comme écrit dans cette lettre... est un drôle d'historien...

2) le propos et le style sont tellement convenus que c'est triste à lire...

3) faute de grammaire : la religion. peut avoir, elle, autorité, si on n’est convaincu de sa validité.

... "si on est convaincu"... sans n'...

4) sur le nombre de victimes "indigènes" au cours de la Première Guerre mondiale : il n'y en a pas 100 000 comme vous dites mais 70 000 (cf. de multiples ouvrages d'histoire comme ceux d'Ageron ou de Frémeaux...)

5) sur la Mosquée de Paris, subventionnée malgré la loi de 1905, vous dites "on aurait pu répondre" ceci ou cela ou "on a raisonné par analogie"... Tout ça ce sont des fariboles : la subvention publique d'un lieu de culte a été votée en tout conscience, la loi de 1905 n'a jamais été mentionnée. Point.
Vous n'avez pas lu notre livre "Histoire de l'islam et des musulmans en France" (Albin Michel,2006), et notamment mon article sur la Mosquée de Paris...

6) comme beaucoup qui écrivent sans vérifier (y compris le conseiller d'Hortefeux, la semaine dernière...), vous attribuez à Lyautey la fameuse phrase : "« Quand s’érigera le minaret que vous allez construire, il montera vers le beau ciel de l’Ile de France..." alors qu'elle est de Maurice Colrat, sous-secrétaire d'État à la Présidence du Conseil. Et que l'occasion n'était la pose de la première pierre (octobre 1922) mais la détermination de la qibla (mars 1922)

Avant de donner des leçons...

Michel Renard
professeur d'histoire
co-auteur de "Histoire de l'islam et des musulmans en France" (Albin Michel, 2006)

Écrit par : Michel Renard | 13/12/2009

Etant roi de votre blog, pourquoi laissez vous trop de liberté aux déclarations stupides de M Hilout. Pas de place, pas de laicité ici, c'est un espace perso...Censurez les messages polluants et non biodégradables!

Un commentaire suffit, il en a déjà fait deux très longs...et si vous le laissez, votre blog risque de devenir le sien! Il propage ses idées obscurantistes anti-religieuses primaires n'importe comment et ne répond même pas à l'article, mais fait de la propagande systématique (copy paste)

Écrit par : Alexandre Vivendi | 13/12/2009

Cher Mouloud,

Ta lettre à Nicolas me pla^t bien, à quelques détails près.Ta qualité d'historien m'impressionne, mais tant pis, j'y vais.

1 Le débat auctoritas/potestas est bien un combat entre les pouvoirs spirituel et civil (difficile de dire laîc), le pape se voulant chef suprême.La période, assez longue, est parsemée de conflits.

2 Tu fais un raccourci rapide entre 1789 et 1905.Pour moi, la citoyenneté, c'est 1789 et la laîcité, c'est 1905, la séparation de l'Etat et des églises.

3 C'est parceque ,pour moi, la laïcité tient dans cette formule que la présence ou non d'églises, de temples ou de synagogues dans les pays musulmans m'indiffère.Mais ce n'est parcequ'hélas l'église catholique bénéficie d'accomodements scandaleux (certains parlent de "catho-laïcité")qu'il faut financer la construction de mosquées (avec ou sans minaret, on s'en fout, cette question ne concerne que les musulmans).

Bijour Mouloud

Écrit par : MULOT Roger | 13/12/2009

M Hilout, j'ai visionné votre audition devant la commission et apprécié votre prestation, sincère et digne d'un véritable humaniste. J'ai noté un détail qui aura échappé à M Bauberot : le voile intégral est bien une coutume marocaine, et donc appartenant aussi aux pays du Maghreb et non pas seulement en provenance d'Afghanistan. Seule la coupe du voile change, mais pas le concept. Il était bon que quelqu'un rappelle ce "détail" si souvent oublié.
Il semble bien que votre origine soit précisément ce qui contrarie fort votre contradicteur : il ne peut vous taxer d'auto-racisme ou d'islamophobie.

Écrit par : gigi-3 | 13/12/2009

@Gigi-3

Le voile intégral est bel et bien islamique, quoi qu'en disent les oublieux des haïks de ma grand-mère, du voile intégral de ma mère, de l'histoire du mot Haïk que vous pouvez lire sur un site du CNRS et des dissertations des tout premiers exégètes du coran qui, dès le départ, avaient deux avis différents : la femme ne doit

1 - ne laisser apparaitre qu'un oeil ou bien

2 - cacher et les cheveux et le front.

Exemple de ces exégèses celle de Tabari qui finit par donner plus de poids à la première interprétation. Ceci est un démenti cinglant à ceux qui voudraient nous faire croire que c'est seulement les idéologues du wahhabisme saoudien qui auraient choisi le voile intégral.

Comme je l'ai écrit, les inventeurs du mot islamisme n'ont qu'un but : dédouaner l'islam et déambuler en rond autour du pot sacré. Il ne répondent jamais à la question qui restera toujours posée :

Mahomet qui a razzié sabre en main et conquis une bonne partie de l'Arabie tout en nous léguant 9 veuves interdites de remariage (c'est dans le coran XXXIII, 53), est-il extrémiste ou un doux modéré ?

Et voici l'exemple de fossiles linguistiques en français qui remontent jusqu'en 1654 : http://www.cnrtl.fr/definition/haïk


HAÏK, subst. masc.

Grande pièce d'étoffe légère dans laquelle les Orientaux, et plus particulièrement les femmes musulmanes, se drapent.

Elle n'avait plus sa belle tunique de soie rouge; un simple haïk blanc l'entourait; elle en avait relevé un pan sur sa tête (Benoit, Atlant., 1919, p. 279).

Qui reconnaîtrait cette femme sous le haïk de laine qui l'enveloppe de la tête aux pieds et ne laisse voir que les yeux? (Tharaud, Fez, 1930, p. 193).

− P. métaph. La gêne de Monique (...), le haïk de confusion dont elle s'enveloppait, voilà de bons signes (H. Bazin, Mort pt cheval, 1949, p. 170).

Prononc. et Orth. : [aik] init. asp. Var. haïck ds Lar. Lang. fr. Var. vieillies hhaïk (Besch. 1845), heyque (Littré), haïque (Besch. 1845 et Chesn. 1857). Catach-Golf. Orth. Lexicogr. 1971, p. 265, propose la graphie haïc, plus française. Au plur. des haïks (haïcs pour la forme francisée). Étymol. et Hist. 1654 heque (N. Anroux et P. Héron, La miraculeuse redemption des captifs faite à Salé, p. 64 cité par R. Arveiller ds R. Ling. rom. t. 38, p. 15 : un heque de fine laine); 1725 haïk (Laugier de Tassy, Hist. du royaume d'Alger, p. 56, ibid., p. 16 : haïk, qui est une piéce d'étoffe de laine blanche). Empr. à l'ar. maghrébin ḥayk, ḥā'ik (Dozy (A.) Vêt., p. 147). Fréq. abs. littér. : 35. Bbg Quem. DDL t. 9, 14, 17.

Écrit par : MPHilout | 13/12/2009

bonjour,
Monsieu baubérot, vous nous avez bien raffraichi la mémoire en nous rappelant que le beau minaret de la mosquée de paris est un beau français à classer dans la catégorie des "accueillants", que ceux entendent en écorcher une certaine légitimité.

Écrit par : evelin | 14/12/2009

M Hilout, mes premières vacances à l'étranger furent à Al Hoceima en 1972, et j'ai des photos encore de femmes avec le visage caché, laissant voir seulement les yeux. Mais qui sait, le wahabisme couvait sous le "masque" de ces vieilles femmes de la campagne. Je me rappelle aussi que certains personnages du romancier Mahfouz sortent dans les rues avec la "abaya" qui leur cache le visage, ce qui leur permet de voir sans être vues, précise bien l'écrivain. Et on pourrait continuer ainsi è rafraîchir la mémoire à des gens qui, probablement, n'en ont pas plus besoin que vous et moi.
Je tiens à préciser autre chose : le contradicteur que j'évoquais dans mon précédent post n'était pas M Bauberot mais celui qui a si gentiment demandé votre éviction, comme un malpropre, comme si tout le monde devait penser comme un seul homme ici. Contrairement à beaucoup de contributeus, pas forcément ceux de ce blog, vous étayez vos dires et même si votre véhémence peut paraître à certains irrespectueuse du "maître" de ces lieux, - je mets des guillemets en effet, sans nier les hautes qualités intellectuelles de notre hôte car je n'oublie pas que l'on adore que Dieu seul, même si on a des doutes sur son existence - votre honnêteté est digne d'être prise en considération. Le respect n'est pas toujours de dire amen.

Écrit par : gigi-3 | 14/12/2009

Et aussi, nous pourrions mettre au défi ce fils d'immigré première génération d'écrire aussi bien.

Écrit par : Paz | 14/12/2009

Merci cher Baubérot de continuer de faire porter l'espoir de l'harmonie, du dialogue et de l'ouverture (qui n'est pas nécessairement l'acceptation de tout, mais qui a l'avantage non-négligeable d'exprimer au moins la reconnaissance de l'autre).
Il n'est pas en mon habitude de m'exprimer de la sorte sur un blog, mais la lecture de certains commentaires m'ont attristée par leur pessimisme et leur dogmatisme.

Je forme avec mon compagnon un couple mixte pour plusieurs raisons, l'un venant de Tunisie, l'autre de France, l'un musulman, l'autre protestante, tous les deux jeunes. Ah! Malheur!
Malheureusement pour de nombreux adeptes du choc des civilisations, tout se passe très bien. Les accords et désaccords, heurs et malheurs, nourrissent une relation qui gagne ainsi en profondeur et en découverte de soi.

Je ressens la suspicion croissante de certains membres de mon entourage à l'égard de notre couple, relayé/ nourri par une actualité nationale nauséabonde. Alors, je crois qu'il est important de tenir bon et d'affirmer haut et fort que l'on peut rassembler ce que d'aucuns pensent irréconciliable, voire antinomique.

Encore une fois bon courage, et merci de faire encore parler une voix d'espoir dans une atmosphère générale de plus en plus délétère.

Écrit par : Hallia | 14/12/2009

Merci à Mouloud et à Jean.

Pour MPHilout, en revanche, et j'ai même visionné son "audition" afin d'être tout à fait fixé, j'hésite entre le qualificatif "d'inculte profond" et celui de "traître intégral" (à ses parents et sa famille, à la culture de ses ancêtres, vers tous les citoyens français et françaises non musulman(e)s et contemporains enfin, par la nature de ses diatribes au vitriol contre l'Islam, son Livre sacré et Son prophète qui forment les signes très clairs d'un esprit dérangé et profondément malade ): mais comme les deux peuvent très bien aller de paire, ce M. (grâce à Dieu, il est masculin et dans le cas contraire, cette abbréviation aurait pu prêter à une regrettable confusion toute involontaire ...) peut se caractériser par les deux termes de manière complémentaires.

Nietsche nous avait pourtant prévenu, mais là ! chapeau bas M. Mohamed Pascal Hilout .... avec vous, toutes les bornes sont allégrement franchies : vous représentez, dans ce sens, un specimen rare, alors même que la concurrence dans votre discipline est très féroce par les temps qui courrent, et à la vitesse des ténèbres galopantes, ajouterons nous.

"L'homme des civilisations tardives, et à clarté déclinantes, sera un individu, en gros, plutôt débile." Nietsche.

Bons rétablissements (sincères de la part d'un musulman croyant) à MPHilout et consors/"consoeurs" et salutations fraternelles à tou(te)s les autres.

Écrit par : Dabeldi | 14/12/2009

Merci Docteur Dabeldi pour le diagnostic gratuit,
totalement gratuit.

Écrit par : MPHilout | 14/12/2009

Mais non, Mouloud, révise ta copie ! Tu n'étais pas citoyen français, tu ne pouvais m'accueillir, toi, car tu n 'avais pas ton mot à dire, puisque tu n'acceptais pas de vivre selon les lois de la république mais selon les principes de ta religion ou ce que tes ancêtres estimaient tels : pas d'hiéritage pour les filles, mariage sans le consentement de tes enfants, polygamie, répudiation, lapidation des filles adultères ou fornicatrices, etc. Ne me racontes pas que tu ne sais pas de quoi je parle, tes compatriotes actuels (puisque tu es binational, je présume, ) vivent encore selon le code de la famille dit "code de l'infamie" par certaines de tes coreligionnaires de ta première patrie (pas de la seconde, car ceux-là, ne méritent même pas une fatwa, simplement que la terre s'ouvre pour les engloutir).
Alors tu peux bien nous dire que tes coreligionnaires sont pleinement français, tout autant français que les français qui ne sont pas binationaux parce que leurs parents sont français depuis des générations. On ne te croira pas tout à fait tant que tes cousins du bled pourront être polygames, répudier, marier leurs filles contre leur gré, contrôleront leur virginité physique et les enfermeront en toute légalité, tant qu'elles ne seront pas considérés comme des majeures mais d'éternelles mineures ne pouvant disposer de leur vie sans "mahran" pas marrant.
Il est là le problème, et pas ailleurs, mon cher Mouloud.

Écrit par : gigi-3 | 14/12/2009

J'ai du mal à croire, penser et accepter qu'un professeur d'histoire de Terminale fasse autant de fautes d'orthographe et de syntaxe... Décidément l'enseignement est bien mal en point... J'espère au moins qu'en matière historique ce texte ne comporte pas autant d'erreurs, sinon... Que Dieu et la Laïcité nous protègent !

Écrit par : KeizerSoze | 24/12/2009

Mouloud Boubérot semble totalement éluder l'incroyable changement de la société française entre 1905 et aujourd'hui : les musulmans de France de 1905, très minoritaires dans notre pays ne cherchaient pas à faire de prosélitisme comme aujourd'hui, ce que l'état français de l'époque n'auraient certainement pas toléré.
Si aujourd'hui le bas blesse du côté des musulmans établis en France, c'est parce que, loin de vouloir s'intégrer aux valeurs de notre pays en acceptant les principes de la laïcité, du respect des individus (hommes ET femmes) qui en sont les fondements, ils les rejettent au nom du Coran mais surtout ils mettent tout en oeuvre
pour imposer leurs lois islamiques et saper les bases culturelles, républicaines et démocratiques de notre pays, le tout en affichant la plus inquiétante INTOLERANCE pour tout ce qui concerne notre identité nationale.
Alors, il est normal que les non musulmans se sentent inquiets devant les risques que les musulmans font courir, qui plus est, sans s'en cacher, à notre société tout entière.
Suite à la lecture de la lettre de Mouloud, je reste dubitative quant à son profil de professeur d'histoire....
claudine lepage

Écrit par : LEPAGE | 08/02/2010

Wow, j'apprécie votre travail, grand merci pour votre partage, et je suis 100% d'accord. Permettez-moi d'insister, votre site est réellement excellent, je viens à l'instant de découvrir votre site et l'ai complètement dévoré. Bonne continuation et longue vie à votre blog !

Écrit par : fanny | 04/05/2010

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Écrit par : Dissertations Writing | 07/10/2010

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Écrit par : медицинская техника | 20/11/2010

Green said that he may also be filing an additional Americans with Disabilities Act lawsuit against the hospital in a separate case that is not related to Price.

Écrit par : Dry Diving | 30/03/2011

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Écrit par : local mover | 08/04/2011

Salut! Merci pour les informations que vous avez fourni une grande! Vous avez abordé sur des points cruciaux!

Écrit par : Mobile Broadband Coverage | 12/04/2011

Un article plutôt bien mené, avec un style bien particulier. Enormement de talent d'après moi!!:) Je viendrais profiter des prochains. A bientôt ;)

Écrit par : Apprendre à gagner au loto | 05/11/2011

Exceptionnel n'est pas le mots correcte pour classer votre site, je parie que vous avez encore du potentiel à présenter sur ce blogging, en tout cas, je vous remercie pour toutes ces partages.

Écrit par : pronostic france honduras | 15/06/2014

La laïcité, compte tenu de notre constitution et notre système législatif (monarchie laïque républicaine) est un concept qui se retrouve sans socle de valeurs de vie fondamentales immuables (bateau sans voile). Les valeurs de ce socle sont issues au tout début, qu'on le veuille ou non, des valeurs judéo-chrétienne. Elles se retrouvent suite à notre République post-1789 modifiables à l'Assemblée Nationale à tout moment par les différents mouvements politiques successifs mises en places par des groupes de pressions divers qui ont basés leurs existences et créés leurs socles de valeurs sur un point commun "Argent = Pouvoir". Ce système est en opposition total avec la chrétienté... Il est donc logique aujourd'hui de voir l’Assemblée Nationale acceptée de nouvelles lois comme par exemple « Le mariage homosexuel ». Nous pouvons parier que dans les deux ans qui viennent la PMA et la GPA seront autorisés (achat et vente d’enfants, nouvel esclavage). L'Être humain est de nature faible. Sans repère et socle de valeurs immuables, il redeviendra un «sauvage ». Donnez-lui « le peuple » du pain, des jeux, du vin et du sexe en prime et vous récolterez un peuple malléable à souhait décadent. C'est exactement ce qui se passe en France actuellement. Nous sommes au milieu du processus... Ce processus est en plein accélération en France grâce aux médias entièrement au service du pouvoir, au GX et à l'OMC. (La France s’est créée un nouveau veau d’Or : La Laïcité). Le réveil sera bien évidement violent. Souhaitons que nos élus comprennent avant qu’il ne soit trop tard, qu’il est urgent de réagir et d’inscrire dans la constitution des valeurs universelles non modifiable. Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir…

Écrit par : Oups | 25/12/2014

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