14/06/2010
La famous Pétition en débat, et la seconde liste des signataires
Je ne republie pas le texte de la pétition : « La France que nous aimons, vous la quittez », lancée mercredi dernier. Vous le trouverez dans les 2 Notes précédentes du Blog.
Avant de reproduire certains commentaires, de les commenter et de donner la deuxième liste de 100 signataires (si vous avez signé et que votre nom ne figure pas encore, ce sera pour la troisième, les 200 sont déjà dépassés), voici 2 ou 3 précisions sur les règles du jeu :
-pour le moment, 2 moyens pour signer :
l’espace commentaire du Blog, le mel declarationlaicite@hotmail.fr
A la demande de certains l’ouverture d’un site est envisagée. Mais il y a (de ma part) une double question de temps et de compétence
-la pétition est publiable en l’état sur n’importe quel site et blog. C’EST MÊME TRES RECOMMANDE !
On peut renvoyer aux 2 possibilités de signatures. On peut aussi recueillir directement des signatures. Le responsable du site ou du blog gère alors les commentaires et les signatures et donne la liste de ces dernières grâce aux 2 moyens indiqués.
-on peut aussi la tirer sur papier, avec la ou les liste(s) de signataires et la faire circuler, etc…
-aucune signature ne sera prise en compte s’il n’y a pas le nom et le prénom.
Au moins une autre indication est vivement souhaitée (engagement associatif, ou autre, profession, lieu d’habitation,…). Il m’a semblé en revanche que la mention d’un parti (que certains ont donnée) risquait de faire enlever à la pétition son aspect « société civile ». Mais j’hésite sur ce point.
Qu’en pensez-vous ?
-quelques non-Français, mais « Français de cœur », ou « très attachés aux valeurs de la France » ont signé : pourquoi pas : au début de la Révolution, n’importe qui s’affirmait attaché aux valeurs de la Déclaration des droits de 1789 pouvait devenir « citoyen français ».
Chacune/chacun a pu lire de nombreux commentaires sur le Blog. Parmi les commentaires reçus sur declarationlaicite@hotmail.fr voici une petite sélection : d’abord les personnes qui signent avec des remarques critiques, ensuite celles qui ne signent pas et en donnent les raisons, enfin celles qui ne cachent pas leur enthousiasme.
I) D’abord voici des remarques critiques qui m’ont semblé très consistantes :
« Bravo pour ton initiative. Quelques remarques sur le projet de pétition, si c'est encore temps de faire des remarques, sinon, oublie-les.
1/ Le titre : pas très évident. Je suggère : "pourquoi quittez vous la France que nous aimons ?", ou bien "N'abîmez pas la France que nous aimons!" ou plus simplement : "la France que nous aimons".
2/ Sur la suppression de la Halde, peut-être dire un mot de la suppression associée du défenseur des enfants et de la CNDS[1]. C'est la question des droits de l'homme en général qui est en cause.
La CNDS notamment a eu à connaître des violences commises envers les étrangers expulsés et a en partie infléchi cette politique ainsi que des violences lors d'interpellations musclées dans les banlieues.
3/ Le dernier argument sur les élus des collectivités locales n'est pas du tout explicite
4/ Il manque me semble-t-il un quatrième point d'inflexion : le glissement progressif du judiciaire vers l'administratif dans de nombreux domaines, en particulier dans la loi sur l'immigration clandestine puisque cela constitue l'essentiel des dernières modifications.
De manière plus générale, c'est le caractère obsessionnel de la lutte contre les sans papiers et les loi sur l'immigration qu'il faudrait évoquer »
Commentaire J.B. :
Sur le 3), une note d’information a été ajoutée à la pétition.
Sur le 1), le titre est une paraphrase ironique de « La France on l’aime ou on la quitte » (cité dans le texte de la pétition), et donc il fallait qu’il soit le plus près possible, même dans la syntaxe, de cette phrase.
Sur le 2) et le 4) : je n’ai pas voulu écrire une pétition généraliste (soit déjà faite, soit qui reste à faire) et longue sur l’immigration, l’ensemble des atteintes aux droits, ou sur l’établissement du défenseur des Droits avec l’ensemble des suppressions qu’il permet.
J’ai voulu cibler et relier deux « valeurs » que l’on est en train de nous VOLER sans vergogne :
-la laïcité : globalement, même si quelques signataires m’ont reproché d’avoir été trop élogieux à son égard, la Halde a défendu une conception de la laïcité qui me semble conforme à des moyens (neutralité et séparation) ordonnés à des finalités (liberté de conscience et égalité des citoyens), le projet de loi d’interdiction du voile intégral (même quand on est contre le port de ce voile là) malgré les avis des juristes (à la fois laïcité et liberté publique)
-l’égalité homme-femme : la contradiction flagrante entre les 2 projets de loi qui sont en même temps dans les tuyaux, celui de l’interdiction du voile intégral (où on crie très fort que c’est au nom de la dite égalité) et celui qui change le mode d’élection des élus des collectivités territoriales qui montre que l’on se fout royalement de cette égalité femme-homme
(la demande de précision montre qu’au moins j’apporte de l’info, puisque certains ne savaient pas que le changement de mode d’élection était calamiteux pour la parité)
Mais que la pétition soit aussi l’occasion de parler des différentes menaces qui pèsent sur « une certaine idée de la France », je suis totalement pour.
Dans cet esprit, voici 2 autres commentaires critiques consistants et bienvenus :
« J'aimerais, comme vous l'avez invité à le faire, apporter quelques remarques à votre pétition.
Soyez tout d'abord assuré que j'adhère sur tout ce que celle-ci contient, mais je trouve dommage que vous parliez de la Halde sans en faire de même pour les autres institutions qui seront fusionnées. Bien sûr, la pétition s'alourdirait si toutes les institutions devraient être présentées, toutefois, une attention spécifique à la CNDS serait largement appréciable.
Le rôle que cette commission porte est démocratiquement indispensable, surtout à l'heure d'une IGS/IGPN très peu saisie et très peu exigeante vis à vis des forces de police.
Je n'ai plus les chiffres en tête des saisines, ou des affaires effectivement traitées par l'IGS/IGPN, mais une rapide étude sur le Net à un moment où j'en avais besoin (cela date de l'année dernière : les choses auraient elles changées depuis? je suis sceptique) n'avait fait qu'empirer mes craintes : peu d'abus policiers sont dénoncés par les victimes, et une portion infime de ceux-ci sont réellement traités et sanctionnés.
La CNDS a elle élaboré en 2009 un rapport sur les abus et les dysfonctionnements des forces de police : elle met donc en lumière les faits qui ne sont pas dénoncés ou traités par l'IGS/IGPN.
Ce rapport de 2009 est largement détaillé, s'appuyant sur de nombreux exemples.
Ce rapport est selon mon avis dans la même lignée que le rapport d'Amnesty International de la même année, à ceci près qu'il est encore plus étayé et précis.
Cette commission critique a donc, du moins pour moi, fait preuve de sa réelle indépendance. Et comme le souligne Lionel Jospin dans un article paru dans Le Monde, cette fusion compromet largement sa liberté d'action et de réflexion. Assurer la liberté et l'indépendance de la CNDS, c'est aussi ça ma conception de la France.
Une dernière remarque, qui sort cette fois du débat sur la fusion dans un Défenseur des Droits : serait-il une bonne idée de réclamer la démission d'Hortefeux? C'est en tout cas mon avis. Cela dit, ce sujet pourrait faire à lui tout seul question d'une autre pétition. »
« Je suis d'accord pour signer cette pétition, mais j'aurais aimé qu'on y rajoute des éléments sur le fait que la CNDHS (je crois que le développé est commission nationale de déontologie et de haute sécurité, garante du respects des droits de l'homme par la police et la gendarmerie ait été dissoute, laissant le terrain à une inspection interne (boeuf carottes). On voit toutes les dérives possibles, notamment avec la garde à vue.
Bien d'autres sujets d'inquiétudes sur ces items: suppression de la défenseure des enfants; le décret CARLE intimant aux collectivités locales de financer les écoles privées quand les écoles publiques de la commune ne suffisent pas; réforme de la constitution non appliquée en ce qui concerne le référendum d'initiative populaire; suppression de fait du juge d'instruction indépendant, on ne leur donne plus de dossier; prise de pouvoir des média (nomination des présidents par le président de la république) Etc... »
II) Les personnes qui ne signent pas et en donnent les raisons :
« Je ne signerai pas pour deux raisons
1) Je suis d’accord avec le “coeur de cible” la loi sur le voile intégral, mais pourquoi ne pas s’en tenir là, à ce compte il y a encore bien d’autres projets de Sarko qui ne me satisfont pas.
2) Je ne comprends pas le sens de la rhétorique : “La France que nous aimons, vous la quittez ”: tu demandes quoi précisément ? Le changement de politique? La démission de Sarko ? Son exil ?
Il semble qu’une pétition ne relève pas du pamphlet; elle doit avoir un objet précis et un but théoriquement atteignable. »
Commentaire J.B. :
-Le cœur de cible est plus complexe que celui indiqué, cf. mon commentaire précédent
-Non, je n’irai pas jusqu’à demander à Sarko de s’exiler à Saint Hélène. Cette pétition est d’abord une manière de dire : « Assez, l’instrumentalisation des ‘valeurs de la République’, leur invocation en même temps qu’elles sont foulées au pied, allègrement piétinées, c’est insupportable, la coupe est pleine. Vous prétendez que nous sommes ‘l’anti France’, or nous somme l’autre France. »
-L’objectif précis, ensuite, est de protester contre la suppression de la Halde et les 2 projets de loi dont j’ai parler dans mon 1er commentaire
« Le "nous aimons" me reste dans la gorge ,cela fait Ségolène et drapeau au petit déjeuner, la France d'aujourd'hui est une province
de l'EUROPE, c'est cela que nous devons vouloir. Tout le reste, très juste. (Mais) ne pas jouer le jeu de l'amour baveux. »
Commentaire J.B. :
D’abord, j’aime mieux « faire » Ségolène que Sarko : je renvoie à ce sujet à l’analyse de Gérard Noiriel : dans son livre A quoi sert l’identité nationale (Agone), il décrypte les discours des 2 candidats de 2007 et montre clairement que l’une est dans la tradition de Jaurès, et l’autre dans celle de Barres.
Certes la France fait partie de l’Europe, mais les enjeux dont il est question dans la pétition restent nationaux. Et je n’ai pas envie de me faire voler une conception universaliste de la France par ceux qui la défigurent. Le mieux ne serait-il pas l’ennemi du bien ?
III) Parmi celles et ceux qui ne cachent pas leur enthousiasme (extraits) :
- « Je soutiens votre pétition qui relève avec des mots justes ce que je ressens contre la suppression de la Halde et le mépris flagrant des droits dans les cas que vous indiquez »
- « Je signe la pétition parce que je ne me reconnais plus dans mon pays, dans celui que j'ai fait aimer à mes élèves des quartiers Nord de Marseille. Non seulement je ne me reconnais plus mais j'en ai honte. »
- « En tant qu'enseignant et chercheur étranger mais d'origine française et très attaché à la France et a ses valeurs, j'adhère avec enthousiasme a la pétition. »
- « Bravo pour la pétition, Je signe de deux mains »
- « Avec tous mes encouragements. Pour une laïcité qui entretient la vie pas une laïcité qui tue par étouffement. »
- « Belle et bonne initiative ».
- « Je signe la pétition. Je la diffuse à mon réseau féministe et universitaire ».
- « Je signe contre la suppression de la HALDE, contre l'interdiction de la burqa (de même contre l'obligation) pour des élections sur liste (et, mieux, à la proportionnelle) »,
- « Merci pour cette engagement public sans compromis (ni compromission) auquel je souscris dans sa totalité »
- « Enfin une initiative plus que consistante, à laquelle les citoyens républicains laïques ne peuvent que souscrire. Qu'elle s'épanouisse et que d'autres initiatives viennent en relais. Allez ! »
- « J'adhère en tant que citoyen laïque et républicain »
- « C'est une pétition courageuse, rafraîchissante. »
- « Je trouve désordre et malsain que des gens comme moi, d'origine étrangère, (qui, plus est sont: chef d'état : Nicolas Sarkozy; et ministre: Eric Besson) aient pu lancer par pur populisme et démagogie ce débat sur l'identité nationale. (Si des " franco-français" de l'extrême droite l'avaient fait : passe encore...!) »
- « Je suis musulmane "réformée", et je revendique ma pluralité culturelle: algérienne, française, ...j'ai eu vent de votre pétition par l'intermédiaire d'une liste d'information "politique", laïque, ... j'aimerais tellement qu'un- e musulman-e, lance aussi une telle pétition pour dire aux musulman-e-s qu'il y a bien d'autres façon de vivre sa foi, son engagement, ... »
- « Bravo pour le succès de la pétition... peut-être faudrait-il essayer de la publier comme une lettre ouverte dans Le Monde ou alors dans un journal comme Politis. »
- « merci pour ce coup de colère pétitionnaire »
- « Je signe pieds et mains joints »
Commentaire J.B. : MERCI : diffusez, propager, faites signer et débattre….
Et maintenant, une seconde liste de 100 signataires (cf. la première dans la Note du 11/06)
Roger Abovici, Directeur d’hôpital honoraire, citoyen laïque et républicain
Jean-Loup Amselle, Directeur d’Etudes EHESS
Nawal Badaoui, Coordinatrice, ancienne Conseillère municipale, Roubaix
Janine Baraton
Corentin Benaïssa
Miguel Benassayag, Langry
Sylvain Bergounioux, Directeur de Cabinet
Gilles Bernard, Restaurateur, Militant politique et associatif (FASE), Paris
Bernard Bier, Chargé de recherches, Paris
Alain Bonhomme, Haut fonctionnaire, Paris
Daniel Borrillo, Juriste, Université Paris-Ouest Nanterre, CNRS
Benkheulouf Boualem, Responsable associative, Aubervilliers
Jean Boulègue, Universitaire
Lionel Bourgeois, Avocat
Maryse Butel, Président section LDH, Lorient
Jacqueline Charretier, Président LDH, Uzès (34)
Mary Chebbah, Professionnelle dans le secteur artistique, Lyon
Michèle Cortot
Monique Crinon, Sociologue, philosophe
Jocelyne Dakhlia, Directrice d’Etudes, EHESS
Claude Dargent, Professeur et directeur du Département de sociologie, Paris VIII, Saint Denis
Jean-Pierre Dedonder, Professeur des Universités, ancien Président de Paris-Diderot Paris-7 et ancien Recteur de l’Université de Créteil
Pierre Delmas, Ingénieur retraité, Paris
Monique Dental, Animatrice du réseau féministe Ruptures
Christiane Dieterlé, Vice-présidente du Centre socioculturel de Tournon-sur-Rhône, Bibliste ERF
Claire Donnet, Doctorante
Olivier Doubre, Journaliste à Politis
Bernard Dreano, Président de l’Assemblée européenne des citoyens (HCA)
Françoise Dumas-Champion, CNRS
Marion Duteurtre, Militante LDH
Yann Fiévet, Professeur de Sciences Economiques et Sociales
Anne-Marie Foliquet, Paris
Marc Gaboriau, Directeur d’Etudes EHESS, Directeur de recherches CNRS
Michel Giraud, Chercheur CNRS, Université des Antilles et de la Guyane
Jérome Gleizes
Eric Goffroy, Islamologue à l’Université de Strasbourg
Christian Guérin,
Chantal Guichenu, Retraitée, Ondres (40)
Jean-Patrick Guillaume, Professeur d’Arabe à l’Université Paris III
Marie-Yvonne Guyon, Responsable d’une épicerie sociale à Limours (91)
Jean-François Havard, Maître de Conférences en Sciences-Politique, Université de Haute-Alsace
Pierre Hethener, Retraité, Marseille
Janine Hubaut, Professeur retraité, militante des droits de l’homme, Monteux (84)
Véronique Hummel, Journaliste, La réunion
Jalal Jallane, Paris, Artiste
Michel Jouvin, CNRS
Chachoua Kamel
David Koussens, Doctorant UQAM
Nadia Kurys
Barbara La Barbera, Conseillère municipale, Aubagne
Robert Launay, Professeur d’Anthropologie à Northwestern University
Stéphane Lavignote, Pasteur de la Mission Populaire, se réclamant du Christianisme social
Patrick Leclerc, Conseiller Général des Hauts de Seine
Nathalie Lejbowicz, Professeur de mathématiques
Clarence Lelièvre, Responsable SI, Bordeaux
Gilles Lemaire, Responsable politique
Anne-Marie Lepagnol
Jeannine Le Rhun, Maître de Conférences EPHE, PRODIG
Léna Li, Responsable SIG
François Licheterowicz, Youx (63)
Laurence Loeffel, Maître de Conférences, Lille 3
Martine Loyau
Chantal Marchand Bonivar, Militante des droits de l’homme, Beauvais
Michel Maric, Maître de Conférences, Université de Reims
Jean-Paul Martin, Maître de Conférences, Lille 3
André Mary, Directeur de recherches CNRS, CEIFR-EHESS
Christian Masson
Jean-Pierre Michel, Sénateur de la Haute-Saone
Gérard Moine, Militant associatif, Mulhouse
François Munier, Membre du CA du MRAP
Emmanuel Naquet, Historien
Claire Nancy, Consultante, membre LDH d’Antony
Jacqueline Oechner de Coninck, Artiste-peintre de la Onzième heure
Adriano Oliva, Chercheur et dominicain
Chama Perot, Paris
Evelyne Perrin
Claude Hélène Perrot, Professeur émérite Paris I
Jérome Picard, Fonctionnaire, Marseille
Toni Prima, Retraité Education nationale, Marseille
Daniel Roche, Professeur de Lettres en Khâgne
Annie Rouquier, Historienne (IA-IPR), Vauguenargues (13)
Pierre Ruscassie, Enseignant, membre du Comité de rédaction de Démocratie et socialisme, responsable politique Pyrénées-Atlantique
Valérie de Saint-Do, Journaliste
Malik Salemkour, vice-président LDH
Rachel Sarg, Doctorante, Université de Strasbourg
Catherine Saur, Retraitée du spectacle, Saint Denis
Céline Scavennec, Citoyenne
Nathalie Seghair, Libraire
Aurélien Sevin, Etudiant, Paris
Gilbert Tallent, Ingénieur de recherches, Portes (30)
Alain Ternot
Michel That
Nicole Trampoglieri, Enseignante,, Militante associative, attachée à la laïcité et aux pratiques solidaires
Raymond Trampoglieri, Ingénieur CNRS retraité (idem Nicole)
Marie-Claude Treilhou, Cinéaste
Pierre Tripier
Bernard de Veylder, Principal de collège
Léo Viguie
Kristina Wagner, Retraitée enseignement agricole
Valentine Zuber, Maître de Conférences, EPHE
[1] Précision de J.B. : Commission Nationale de Déontologie et de la Sécurité.
15:30 Publié dans CONTRE L'OBSCURANTISME | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Super !Merci pour cette information de votre site web !
Écrit par : comparatif mutuelle | 05/10/2011
Quelle agréable avancée pour ajouter des commentaires! D'ailleurs, comment pourrions-nous communiquer?
Écrit par : Yasmine | 14/06/2012
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